Dans la collection de SupHermann
La couleur de l’air c3p15
Techniques mixtes
Crayon gras et rehauts de pastel sur papier teinté
50 x 33 cm (19.69 x 12.99 in.)
Ajoutée le 02/06/2024
Lien copié dans le presse-papier !



Description
La couleur de l’air (case 23)
Case 3
Planche 15
Fin de la trilogie "Coup de sang" (Animal Z, Julia et Roem, La couleur de l'air)
En album
- Edition Casterman novembre 2014
- Intégrale édition Casterman nov 2020
- Œuvre sélectionnée dans le cadre de l’exposition "DéconstruKt : 137 dessins originaux de Bilal" présentés chez Artcurial du 6 juillet au 9 septembre 2021
https://youtu.be/K1LpI1mXfJM?si=6y_vGQqWgEoQtnsU
- Reproduite dans le catalogue (p103)
Case 3
Planche 15
Fin de la trilogie "Coup de sang" (Animal Z, Julia et Roem, La couleur de l'air)
En album
- Edition Casterman novembre 2014
- Intégrale édition Casterman nov 2020
- Œuvre sélectionnée dans le cadre de l’exposition "DéconstruKt : 137 dessins originaux de Bilal" présentés chez Artcurial du 6 juillet au 9 septembre 2021
https://youtu.be/K1LpI1mXfJM?si=6y_vGQqWgEoQtnsU
- Reproduite dans le catalogue (p103)
Commentaire
Chronique de BD GEST : "Dans un Zeppelin sinistré, un équipage d’infortune dérive au gré d’une Terre qui a repris le contrôle d’elle-même. Témoins involontaires de l’avènement d’une ère nouvelle, Anders Mikkeli, Esther Roblès, Louissa & et Zibbar convergent vers un mystérieux point de rendez-vous, sur ce qui, hier encore, était les côtes de la Sicile.
Eau, Terre, Air. Après Animal’z et Julia & Roem, La couleur de l’air clôt la trilogie du Coup de sang.
Ce dernier album, au final surprenant, prend l’apparence d’une allégorie écologique des plus optimistes sur la bienveillance de notre planète-mère envers un genre humain qui ne l’a guère épargnée. Une interrogation subsiste cependant : pourquoi la Terre, dès lors qu’elle posséderait la faculté de se défaire de son plus turbulent locataire, l’épargnerait-elle, et lui offrirait une autre chance ? Afin que les mêmes causes ne produisent encore les mêmes effets, la question posée trouve une réponse pour le moins radicale. La Nature, dans une restructuration quasi-organique, en même temps qu’elle dissout - en ses tréfonds - les vestiges de la noirceur de l’âme humaine, en profite pour reformater l’esprit de ceux et celles qu’elle décide […]"
Eau, Terre, Air. Après Animal’z et Julia & Roem, La couleur de l’air clôt la trilogie du Coup de sang.
Ce dernier album, au final surprenant, prend l’apparence d’une allégorie écologique des plus optimistes sur la bienveillance de notre planète-mère envers un genre humain qui ne l’a guère épargnée. Une interrogation subsiste cependant : pourquoi la Terre, dès lors qu’elle posséderait la faculté de se défaire de son plus turbulent locataire, l’épargnerait-elle, et lui offrirait une autre chance ? Afin que les mêmes causes ne produisent encore les mêmes effets, la question posée trouve une réponse pour le moins radicale. La Nature, dans une restructuration quasi-organique, en même temps qu’elle dissout - en ses tréfonds - les vestiges de la noirceur de l’âme humaine, en profite pour reformater l’esprit de ceux et celles qu’elle décide […]"
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A propos de Enki Bilal
Enes Bilal, dit Enki Bilal est un réalisateur, illustrateur, dessinateur et scénariste de bande dessinée né en 1951 à Belgrade et installé en France. Son œuvre se situe en partie dans la science-fiction et aborde notamment les thèmes du temps et de la mémoire. En 1987, il obtient le grand prix du festival d'Angoulême.