Commentaires postés par ORACLE

Un auteur de grand talent aux manettes « Sieur Calvo », pour diriger et mettre en scène, sur le thème de la chevalerie, un non moins talentueux personnage, le preux chevalier « Robin des Bois Roi de Sherwood », dans un décor savamment orchestré, et haut en couleurs. Le résultat, avec de tels intervenants, est à la hauteur des attentes : le rendu est magistral.

Une bien belle planche au trait finement ciselé, avec une très belle case centrale, fort bien travaillée et détaillée. De surcroit, svp, une planche de fin.

Du kelek dans toute sa splendeur, par la maîtrise des couleurs, par la puissance du trait, et par le choix du thème. Splendide.

Une illustration couleur de Conrad, c’est d’une extrême rareté. Mais dans cette qualité d’exécution, c’est le graal. Superbe pièce.

Là, il n’y a vraiment rien à redire, et rien à rajouter. D’ailleurs, tous les superlatifs y sont passés, pour décrire cette planche. Disons, pour marquer le coup : « Royale grande case, royale planche ».

Une chose est certaine. On démarre fort sur 2d, avec deux oeuvres du grand Chott, et plus particulièrement deux couvs, s'il vous plait, excusez du peu. Bravo, et bienvenue dans ce sanctuaire, dédié au 9ème Art. Que du bonheur.

On éprouve toujours un grand plaisir à découvrir des oeuvres de cette grande série et saga française d'après guerre, orchestrée de main de maitre par le grand Chott himself. Une couv aux couleurs chatoyantes (c'est l'empreinte de Chott, indéniablement), qui résume à elle seule, par son articulation et sa construction, les mille et une péripéties et exploits de Fantax. Superbe.

Du Keleck dans toute sa splendeur, avec sa marque de fabrique côté couleurs assurément, mais aussi sa griffe, côté interprétation et intrigue, bien évidemment. Très belle pièce.

La griffe de Follet, toujours reconnaissable....Une très belle planche assurément.

Avec l'arrivée de cette splendide planche 40, le diptyque est de rigueur. L'hésitation n'est pas permise. Je kiffe, tout simplement.

Grand amateur de bolides mécaniques et « bolides féminins » (si j’ose dire), voilà un Denis Sire exprimant certainement ses fantasmes en la matière, à travers un superbe patchwork vintage, où formes métalliques et sensuelles de tout poil, se mélangent. Une belle période de métal hurlant, décomplexée, où l’art créatif passait outre la sempiternelle rectitude académique.

Ambiance noire, et atmosphère intrigante, se dégagent de cette planche, Le lieu où se déroule l’action, qui plus est en nocturne, l’encrage appuyé, et ces superbes clairs-obscurs, l’attestent. Au delà de ce constat visuel, je ne peux m’empêcher (c’est personnel), en découvrant cette planche, et dès la 1ère case, de faire un parallèle sous forme de clin d’œil, avec le roman d’Arthur Conan Doyle : « Le Chien des Baskerville ». L’intrigue y est de même nature, à savoir extrêmement pesante. Bien belle réalisation.

Un trait fin et sur, et une belle maitrise de la technique Ombres-Lumières, qui donnent tout son éclat à cette planche. Du talent, tout simplement. Normal, c’est l’académie Chott.

Du Breccia comme j’aime, dans toute sa splendeur. Vraiment superbe.

Un commentaire léché, de passionné, comme à l'accoutumé, mais ici magnifié par la présence de la divine garce Chihuahua. What else?