Julie Doucet, So Why I Had This Stupid Dream - Planche originale
2082 

So Why I Had This Stupid Dream

Planche originale
1990
Encre de Chine
22 x 27 cm (8.66 x 10.63 in.)
Ajoutée le 01/06/2017
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Détail
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Couverture de Rip Off Comix #28, où le récit a été publié pour la première fois

Description

Première planche d'une histoire en 3 pages, racontant un rêve de l'auteure

Inscriptions / Signatures

Signé au crayon en bas à droite

Publications

  • A collection of Bad Girl Art
  • Penguin Books
  • 11/1991
  • Page intérieure
  • My Most Secret Desire a Collection of Dream Stories
  • Drawn & Quarterly
  • 12/1995
  • Page intérieure

Thématiques

dream
bra
bed
daughter
mother
bedroom

4 commentaires
EricB 27 mai 2023 à 16:41
Superbe. Dans la veine des rêves de Julie Doucet liés à l’intime féminin.
SupHermann 23 mai 2023 à 21:11
Excellent
markv 2 mai 2023 à 20:12
Wonderful
Zenitram 21 mars 2020 à 23:46
Artiste remarquable par ses histoires et son graphisme. On regarde du côté de l'écriture de Charles Bukowski.
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A propos de Julie Doucet

Julie Doucet, née à Saint-Lambert est une autrice de bande dessinée québécoise. Elle a réalisé des œuvres classées dans la bande dessinée alternative, mais aussi féministe, dont son fanzine Dirty Plotte. Julie Doucet étudie les arts plastiques au cégep du Vieux Montréal au début des années 1980. C'est là qu'elle découvre la bande dessinée. Elle s'inscrit ensuite à l'Université du Québec à Montréal, où elle étudie les arts graphiques (art de l'impression) et plastiques. Elle fait ses débuts dans le numéro 2 de la revue Tchiize! (bis) publiée par Yves Millet au milieu des années 1980. Elle collabore ensuite à L’Organe (devenu Mac Tin Tac) et à Rectangle, deux revues qui verront éclore toute une génération d'auteurs « underground » québécois majeurs. Entre 1988 et 1990, Doucet crée son fanzine, Dirty Plotte (14 numéros). Elle y raconte ses rêves, qu'elle note, et ses fantaisies ou ses angoisses, en n'ayant jamais peur de choquer - sa pudeur prend une forme inattendue : alors qu'elle évoque sans problème des sujets tels que la sexualité ou les menstruations, elle évitera toujours de parler de sa famille ou de ses amis. Ses pages sont reprises par des revues comme Heck!, Rip-Off Comix, Wimmen Comix, Buzzard, Weirdo ou en France Chacal Puant. En 1990, le fondateur de la maison d'édition Drawn and Quarterly, Chris Oliveros, publie Dirty Plotte sous forme de comic-book. C'est le point de départ d'une reconnaissance importante pour Julie Doucet, qui est alors admirée par des auteurs tels que Robert Crumb, Charles Burns ou encore Art Spiegelman.

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