In JMBD63 's collection
Planche 13 de « L’étoile lointaine »
Ink
39 x 51 cm (15.35 x 20.08 in.)
Added on 3/2/22
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Description
Planche 13 de « L’étoile lointaine ».
Inscriptions
Signé en bas à droite
Comment
La série Roco Vargas :
Torres a réalisé 9 albums dont le héros est Roco Vargas, astronaute, aventurier et écrivain à succès. Une sorte de d’Henry de Monfreid de SF qui écrierait des romans de « gare », ou plutôt de « station spatiale ». Le dernier album n’a pas été encore publié en Français.
L’étoile Lointaine est le 4ième opus de la série (sorti en 1989 en France) et celui que je trouve le plus intéressant par son propos et l’un des plus abouti d’un point de vue graphique, avec les 2 précédents.
Résumé de l’album :
De retour de mission, Roco est pressé par ses amis de raconter sa jeunesse, sa genèse.
La guerre entre les planètes du système solaire a éclaté en 1953.
Roco, alors enfant est sauvé par le génial professeur Covalsky dans les ruines du planétarium de Mondopolis, la capitale terrestre en cours de destruction par de gigantesques robots mercuriens. Lui et sa femme, dans un idyllique havre de pays (« Camelot »), vont l’élever, le former au métier de pilote… Le petit groupe d’amis s’agrandit et après la guerre parcourt les planètes du système solaire d’aventures en aventures pas toujours innocentes… L’avidité, la trahison des dirigeants de chaque planète pour acquérir une supériorité technologique risquent de relancer la guerre mais Colvasky fera don de son moteur révolutionnaire et tout finira bien. Malgré ce moteur qui réduit à quelques heures/jours les temps de parcours dans le système solaire, les étoiles resteront lointaines… et Roco continuera d’en rêver.
L’album est rythmé, avec de l’humour, des moments tristes, de l’amitié, de l’amour, des trahisons, la mort, la rupture, la nostalgie. Comme une bonne tranche de vie. J’ai pris autant de plaisir à le relire pour acheter cette planche qu’à sa sortie.
La planche :
Cette planche est la première du récit où les protagonistes débarquent sur Uranus. Le haut de la page ressemble à une composition de ciné muet. A leur départ d’Uranus le bas de page comporte la fin de ce mini passage muet (je l’ai mis en photo annexe). Il y a un coté burlesque dont je n’ai pas saisi l’intérêt… La grande case centrale que je trouve magnifique a été reprise pour faire le 2ième de couverture (photo annexe).
Torres a réalisé 9 albums dont le héros est Roco Vargas, astronaute, aventurier et écrivain à succès. Une sorte de d’Henry de Monfreid de SF qui écrierait des romans de « gare », ou plutôt de « station spatiale ». Le dernier album n’a pas été encore publié en Français.
L’étoile Lointaine est le 4ième opus de la série (sorti en 1989 en France) et celui que je trouve le plus intéressant par son propos et l’un des plus abouti d’un point de vue graphique, avec les 2 précédents.
Résumé de l’album :
De retour de mission, Roco est pressé par ses amis de raconter sa jeunesse, sa genèse.
La guerre entre les planètes du système solaire a éclaté en 1953.
Roco, alors enfant est sauvé par le génial professeur Covalsky dans les ruines du planétarium de Mondopolis, la capitale terrestre en cours de destruction par de gigantesques robots mercuriens. Lui et sa femme, dans un idyllique havre de pays (« Camelot »), vont l’élever, le former au métier de pilote… Le petit groupe d’amis s’agrandit et après la guerre parcourt les planètes du système solaire d’aventures en aventures pas toujours innocentes… L’avidité, la trahison des dirigeants de chaque planète pour acquérir une supériorité technologique risquent de relancer la guerre mais Colvasky fera don de son moteur révolutionnaire et tout finira bien. Malgré ce moteur qui réduit à quelques heures/jours les temps de parcours dans le système solaire, les étoiles resteront lointaines… et Roco continuera d’en rêver.
L’album est rythmé, avec de l’humour, des moments tristes, de l’amitié, de l’amour, des trahisons, la mort, la rupture, la nostalgie. Comme une bonne tranche de vie. J’ai pris autant de plaisir à le relire pour acheter cette planche qu’à sa sortie.
La planche :
Cette planche est la première du récit où les protagonistes débarquent sur Uranus. Le haut de la page ressemble à une composition de ciné muet. A leur départ d’Uranus le bas de page comporte la fin de ce mini passage muet (je l’ai mis en photo annexe). Il y a un coté burlesque dont je n’ai pas saisi l’intérêt… La grande case centrale que je trouve magnifique a été reprise pour faire le 2ième de couverture (photo annexe).
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Thematics
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About Daniel Torres
Daniel Torres is a Spanish comic book illustrator, cartoonist and scriptwriter. He made a name for himself in France in the 1980s with his science fiction illustrations, first published in Métal Hurlant, then in (À suivre).