Grand amateur des albums de Tanquerelle, c’est avec plaisir que j’ai découvert cette série en 3 tomes.
Résumé (tiré du Monde) :
« On pourrait résumer le Dernier Atlas à son casting. S’y croisent un caïd en cavale qui projette de revenir en France, l’un de ses lieutenants, missionné pour mettre la main sur une pile nucléaire, une reporter de guerre enquêtant sur de mystérieuses mutations génétiques, un robot géant, enfin, le dernier de sa génération à ne pas avoir été démantelé. Cela ne suffirait pas à synthétiser ce feuilleton palpitant, mélange de polar et d’uchronie, qui revisite au passage les relations entre la France et l’Algérie. Ecrit et dessiné à huit mains, construit à la manière d’une série télévisée, le Dernier Atlas est aussi un récit-fleuve de 600 pages, réparties en trois tomes... »
J’ai choisi 2 planches qui pourraient former un diptyque faisant le pont entre le T1, la réparation du « Georges Sand » et son ultime affrontement dans le T3.
Cette 1ère donne l’atmosphère de « résurrection » du dernier Atlas à la fois mécanique, mythique et mystique.
Sur la 3ième case, sur la planche on devine l’habillement et les bandoulières du sac à dos du mécanicien, les détails de l’atlas. Ces nuances disparaissent sur l’album.