Dans la collection de Chricyr
On a toute la vie pour mourir
Encre de Chine
21 x 29.7 cm (8.27 x 11.69 in.)
Ajoutée le 22/01/2019
Lien copié dans le presse-papier !




Description
Illustration de la couverture du livre « On a toute la vie pour mourir » de Cyrille Thiers
Commentaire
Ce magnifique dessin a été réalisé spécialement pour illustrer la couverture de l’ouvrage de Cyrille Thiers « On a toute la vie pour mourir » qui vient tout juste d’être publié.
Il s’agit d’un recueil de nouvelles dont l’ambiance est donnée par le texte du quatrième de couverture :
Ce recueil rassemble quinze histoires très noires dont certaines ont eu l’honneur d’être primées dans divers concours. Ces récits ont en commun la mort sous toutes ses formes, même les plus improbables. Souvent violente, parfois glauque, elle façonne minutieusement la noirceur de chacune de ces intrigues en les parsemant de cadavres, d’ossements, et même de momies. Vous aurez probablement du mal à discerner les victimes des coupables. Néanmoins, jusqu’à l’hécatombe finale, je vous garantis un plaisir aussi malsain que jubilatoire en observant les acteurs de ces tranches de vie, ou plutôt devrais-je dire … de ces vies tranchées.
La mise en image d’André Taymans retranscrit parfaitement cette idée de la mort qui rode en cumulant une scène d’enterrement avec cette menace latente perçue à travers la lunette de visée. On ne sait pas qui est la cible mais que ce soit le vieil homme en fauteuil roulant, la femme avec des béquilles ou l’homme avec un petit garçon dans les bras, le sort d’un innocent semble scellé …
Quelques-uns de ces éléments visuels sont d’ailleurs directement liés à certaines histoires : « Dérapages » pour la lunette de visée, « Généalogie appliqué » pour la femme en béquilles, et « Marche funèbre » pour le vieil homme en fauteuil roulant.
Bonus :
Vous aurez sans doute remarqué le petit clin d’œil du dessinateur avec le nom de famille que l’on devine sur le fronton du caveau de droite...
Il s’agit d’un recueil de nouvelles dont l’ambiance est donnée par le texte du quatrième de couverture :
Ce recueil rassemble quinze histoires très noires dont certaines ont eu l’honneur d’être primées dans divers concours. Ces récits ont en commun la mort sous toutes ses formes, même les plus improbables. Souvent violente, parfois glauque, elle façonne minutieusement la noirceur de chacune de ces intrigues en les parsemant de cadavres, d’ossements, et même de momies. Vous aurez probablement du mal à discerner les victimes des coupables. Néanmoins, jusqu’à l’hécatombe finale, je vous garantis un plaisir aussi malsain que jubilatoire en observant les acteurs de ces tranches de vie, ou plutôt devrais-je dire … de ces vies tranchées.
La mise en image d’André Taymans retranscrit parfaitement cette idée de la mort qui rode en cumulant une scène d’enterrement avec cette menace latente perçue à travers la lunette de visée. On ne sait pas qui est la cible mais que ce soit le vieil homme en fauteuil roulant, la femme avec des béquilles ou l’homme avec un petit garçon dans les bras, le sort d’un innocent semble scellé …
Quelques-uns de ces éléments visuels sont d’ailleurs directement liés à certaines histoires : « Dérapages » pour la lunette de visée, « Généalogie appliqué » pour la femme en béquilles, et « Marche funèbre » pour le vieil homme en fauteuil roulant.
Bonus :
Vous aurez sans doute remarqué le petit clin d’œil du dessinateur avec le nom de famille que l’on devine sur le fronton du caveau de droite...
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A propos de André Taymans
André Taymans est un dessinateur et un scénariste de bande dessinée belge. Auteur capable de s'adapter à de nombreux styles, Il est surtout connu pour être l'auteur de la série semi-réaliste Caroline Baldwin.