Dans la collection de Bonhomme
Lone Sloane, Le mystère des abîmes
Encre de Chine
50 x 61 cm (19.69 x 24.02 in.)
Ajoutée le 04/03/2023
Lien copié dans le presse-papier !



Description
Lone Sloane, Le mystère des abîmes (planche 28).
Inscriptions / Signatures
Signée à l’origine (dans le cadre du dessin, en bas à droite), resignée hors cadre et tampon de l’artiste.
Commentaire
Œuvre de jeunesse devenue le 1er volume de la saga Lone Sloane...
Ce space opera de 65 pages a un scénario linéaire mais débordant, un concentré d’influences entre western, heroic fantasy et science-fiction. Celles sur l’auteur bien sûr, et en relisant l’histoire reviennent aussi des souvenirs de lectures de H.P. Lovecraft, C. Moore, R.E. Howard, de Fu Manchu et de l’empereur Ming, d’anciens films d’aventure et d’horreur. Mais celles aussi que l’auteur a eues depuis, quand reviennent également des souvenirs de scènes de la Guerre des Etoiles, d’Indiana Jones, d’aventures de Valérian… Les prémisses des chefs d’œuvres que l’artiste produira sur la décennie suivante sont là, dans l’architecture, la statuaire, les vaisseaux, les personnages, comme un brouillon. A lire avec un regard d’ado, avec de l’indulgence sur le dessin et l’histoire, et avec la perspective historique des œuvres qui suivront.
Planche 28 : dans les souterrains menant à la citadelle, Lone Sloane affronte la momie-robot de Gn’Assour, dernier roi de Rhya (à qui il vient de prendre le fragment de la première pierre de sang, ce qui explique que la momie ne soit pas contente…). Et comme sur le Golem quelques pages avant, le fulgurant n’est pas vraiment une arme efficace sur les momies-robots.
Le mystère des abîmes a été publié chez Losfeld en 1966, republié par les Humanoïdes Associés en 1977 dans l’album Lone Sloane 66 et par Glénat en 2020 dans le recueil Mirages et folies augmentées.
Ce space opera de 65 pages a un scénario linéaire mais débordant, un concentré d’influences entre western, heroic fantasy et science-fiction. Celles sur l’auteur bien sûr, et en relisant l’histoire reviennent aussi des souvenirs de lectures de H.P. Lovecraft, C. Moore, R.E. Howard, de Fu Manchu et de l’empereur Ming, d’anciens films d’aventure et d’horreur. Mais celles aussi que l’auteur a eues depuis, quand reviennent également des souvenirs de scènes de la Guerre des Etoiles, d’Indiana Jones, d’aventures de Valérian… Les prémisses des chefs d’œuvres que l’artiste produira sur la décennie suivante sont là, dans l’architecture, la statuaire, les vaisseaux, les personnages, comme un brouillon. A lire avec un regard d’ado, avec de l’indulgence sur le dessin et l’histoire, et avec la perspective historique des œuvres qui suivront.
Planche 28 : dans les souterrains menant à la citadelle, Lone Sloane affronte la momie-robot de Gn’Assour, dernier roi de Rhya (à qui il vient de prendre le fragment de la première pierre de sang, ce qui explique que la momie ne soit pas contente…). Et comme sur le Golem quelques pages avant, le fulgurant n’est pas vraiment une arme efficace sur les momies-robots.
Le mystère des abîmes a été publié chez Losfeld en 1966, republié par les Humanoïdes Associés en 1977 dans l’album Lone Sloane 66 et par Glénat en 2020 dans le recueil Mirages et folies augmentées.
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A propos de Philippe Druillet
Philippe Druillet, né à Toulouse, est un dessinateur et scénariste de bande dessinée français. Outre ses activités d'auteur BD et d'illustrateur, il s'est aussi intéressé à l’opéra rock, la peinture, la sculpture, l'architecture et l’infographie.