Dans la collection de Lechat
Jeremiah - La nuit des rapaces (Tome1) - Planche n°2
Encre de Chine
36 x 45.2 cm (14.17 x 17.8 in.)
Ajoutée le 09/06/2025
Lien copié dans le presse-papier !








Description
Planche 2 du tome 1 de la série Jeremiah : La nuit des rapaces. En fait, il s’agit de le seconde planche de la série Jeremiah.
Inscriptions / Signatures
Signée dans la marge en bas à gauche
Commentaire
Ce premier tome de Jeremiah (La nuit des rapaces) sera publié dans le journal allemand Zack, n° 20, de septembre 1978. Il sera publié sous le nom de « David Walker » (le nom allemand de Jeremiah). Fleurus, l’éditeur de la version française de Zack : Super As, ne publiera pas ce premier tome jugeant la BD trop violente…Par contre, il sera publié dans Métal hurlant entre mars et septembre 1979 (n°39 à 44). Enfin l’album sortira chez Fleurus au quatrième trimestre 1979. Puis la série sera reprise par les éditions Novedi en 1981 puis par Dupuis en 1988.
La planche est également représentée dans le catalogue "Hermann, Le naturaliste de la bande dessinée" publié à l'occasion du Festival d'Angoulême 2017.
Achat VAE Millon. Texte du catalogue :
Planche n°2 à l'encre de Chine de l'épisode "La nuit des rapaces" publié aux Editions Fleurus en 1979. Il s'agit d'une planche historique constituant la deuxième de cette série post apocalyptique. Nous y découvrons, après la catastrophe, le village du héros et de sa famille. L'absence de texte permet d'accentuer ce sentiment de peur et de solitude. La grande case plante le décor et apporte une ambiance hors du commun et très cinématographique. Ce trait fin et efficace démontre le sommet graphique de l'artiste.
La planche est également représentée dans le catalogue "Hermann, Le naturaliste de la bande dessinée" publié à l'occasion du Festival d'Angoulême 2017.
Achat VAE Millon. Texte du catalogue :
Planche n°2 à l'encre de Chine de l'épisode "La nuit des rapaces" publié aux Editions Fleurus en 1979. Il s'agit d'une planche historique constituant la deuxième de cette série post apocalyptique. Nous y découvrons, après la catastrophe, le village du héros et de sa famille. L'absence de texte permet d'accentuer ce sentiment de peur et de solitude. La grande case plante le décor et apporte une ambiance hors du commun et très cinématographique. Ce trait fin et efficace démontre le sommet graphique de l'artiste.
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A propos de Hermann
Hermann, de son vrai nom Hermann Huppen, est un dessinateur et scénariste belge de bande dessinée. Il a reçu en 2016 le Grand prix de la ville d'Angoulême pour l'ensemble de sa carrière.