Dans la collection de JMBD63
Carbone & Silicium - page 236
Encre de Chine
Crayon bleu
27 x 37 cm (10.63 x 14.57 in.)
Ajoutée le 17/11/2025
Lien copié dans le presse-papier !





Description
Planche 236 de "Carbone et Silicium" encadrée
Inscriptions / Signatures
Signée en bas à gauche
Commentaire
J’ai commencé par rejeter le style de Mathieu Bablet sans avoir passé plus de 2 secondes sur une page : « quelle horreur ces visages stylisés bizarrement, en revanche les décors ont l’air incroyable... ». Pour en avoir discuté avec d’autres lecteurs je ne suis pas le seul, au 1er contact en général c’est l’adhésion ou le rejet.
J’avais énormément d’échos positifs. Même de lecteurs assidus de manga qui avaient délaissé leurs petits formats de poche pour ces volumes grand format avec plein de pages, lourds, difficile à lire dans son lit.
Alors je me suis mis à « Carbone et Silicium » et « Shangri-là ». Je ne sais plus par lequel j’ai commencé. Que ce soit pour l’un ou l’autre ce fut un grand moment de lecture, de plaisir visuel et narratif. Pour l’histoire, là aussi ça passe (belle histoire, humaniste, écolo…) ou ça casse (pleins de clichés, naïf, manichéen, trop long…). On est sur un fil et chacun bascule d’un côté ou de l’autre en fonction de ...
J’ai trouvé l’histoire de « Carbone et Silicium » pas parfaite et avec quelques longueurs mais j’étais fortement pris dans cette histoire, dans ce monde. Bablet fait le job. Il ne laisse pas du tout indifférent. Cette œuvre fait partie des BD qui m’ont laissé un souvenir prégnant. Finalement je suis devenu fan.
La planche :
Ce passage se déroule lors du chapitre « AN 259 – Alaska North Slope ». Les androïdes en mauvais état, des sortes de gueules cassées des guerres du futur se sont réfugiés dans un bunker car ils sont attaqués par les hommes de la secte de Mekatronic. Leur objectif est de se transférer dans un autre corps avant d’être détruit d’une minute à l’autre.
Blabet utilise des perspectives pour dynamiser la scène. Les plongées, les contres plongées, l’expression des visages, les gros plans ajoutent une forme d’angoisse à la scène, amplifiée par le rouge dans la version publiée (cf photo en annexe). Celle-ci tient compte des remarques précises écrites dans les marges : l’inversion de la 1ère case, l’inversion des cases 4 et 5, et pour la dernière case « lueur rouge, rapetisser et décaler l’œil droit + baisser l’oreille droite ».
J’avais énormément d’échos positifs. Même de lecteurs assidus de manga qui avaient délaissé leurs petits formats de poche pour ces volumes grand format avec plein de pages, lourds, difficile à lire dans son lit.
Alors je me suis mis à « Carbone et Silicium » et « Shangri-là ». Je ne sais plus par lequel j’ai commencé. Que ce soit pour l’un ou l’autre ce fut un grand moment de lecture, de plaisir visuel et narratif. Pour l’histoire, là aussi ça passe (belle histoire, humaniste, écolo…) ou ça casse (pleins de clichés, naïf, manichéen, trop long…). On est sur un fil et chacun bascule d’un côté ou de l’autre en fonction de ...
J’ai trouvé l’histoire de « Carbone et Silicium » pas parfaite et avec quelques longueurs mais j’étais fortement pris dans cette histoire, dans ce monde. Bablet fait le job. Il ne laisse pas du tout indifférent. Cette œuvre fait partie des BD qui m’ont laissé un souvenir prégnant. Finalement je suis devenu fan.
La planche :
Ce passage se déroule lors du chapitre « AN 259 – Alaska North Slope ». Les androïdes en mauvais état, des sortes de gueules cassées des guerres du futur se sont réfugiés dans un bunker car ils sont attaqués par les hommes de la secte de Mekatronic. Leur objectif est de se transférer dans un autre corps avant d’être détruit d’une minute à l’autre.
Blabet utilise des perspectives pour dynamiser la scène. Les plongées, les contres plongées, l’expression des visages, les gros plans ajoutent une forme d’angoisse à la scène, amplifiée par le rouge dans la version publiée (cf photo en annexe). Celle-ci tient compte des remarques précises écrites dans les marges : l’inversion de la 1ère case, l’inversion des cases 4 et 5, et pour la dernière case « lueur rouge, rapetisser et décaler l’œil droit + baisser l’oreille droite ».
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A propos de Mathieu Bablet
Mathieu Bablet est un auteur de bande dessinée français, né à Grenoble. Ses travaux portent principalement sur la science-fiction.