In MV9957 's collection


Description
Battler Britton - Couvertures des n° 138 et 339
138 : Les rayons d'argent - 1965
339 : Les aigles - agent secret - 1975
138 : Les rayons d'argent - 1965
339 : Les aigles - agent secret - 1975
Comment
Rino Ferrari – Biographie et style
Voir mes commentaires sur ma couverture X-13 Agent Secret
Battler Britton
Editions Imperia - 471 numéros de juillet 1958 à juin 1986, et 81 recueils. Format 13 x 18 cm.
Le pitch : série d’aviation de guerre d’origine britannique. Battler Britton (« le britannique batailleur ») est un pilote de la R.A.F.
Biographie (bref résumé de l’article Battler Britton dans le Dictionnaire mondial de la BD de Patrick Gaumer) : Né en 1956 dans l’hebdomadaire Sun, il poursuit sa carrière anglaise en 1960 dans l’hebdomadaire Knockout, puis dans plusieurs revues de Fleetway Publications (Thriller Picture Library, Air Ace Picture Library, War Picture Library, Battle Picture Library), sans compter les rééditions dans d’autres revues. Les Editions Imperia publient ce titre d’abord dans Garry de février 1957 à juin 1958, puis lui dédient une série à part entière qui connaîtra le grand succès que l’on sait (tirages de 200 000 exemplaires à son apogée). Imperia traduisait les épisodes britanniques de Battler Britton, mais publiait également sous ce titre les aventures d’autres héros anglais de la Seconde Guerre Mondiale, comme Paddy Payne et Jack « Dogfight » Dixon. Progressivement, pour faire face à la demande et parce que les séries anglaises stoppaient, Imperia confia la réalisation à ses dessinateurs espagnols. Des grands dessinateurs ont contribué au titre à un moment ou un autre, Hugo Pratt en constituant le meilleur exemple.
La fréquentation de l’Encyclopédie de Gérard Thomassian (http://www.encyclo-bd.fr/index1.html) est évidemment, mille fois plutôt qu’une, obligatoire pour tous les amoureux des Petits Formats. Concernant Battler Britton, c’est une mine d’informations qui dépasse l’entendement. Comment Gérard a-t-il pu réunir cette somme Kolossal d’informations… ? C’est hallucinant. Tous les amoureux de Battler Britton y trouveront toutes les informations détaillées rêvées.
Mon cher Battler Britton fut le héros de plusieurs générations de préadolescents et adolescents. Battler Britton est une référence cultissime, et je citerai, à titre d’exemple : Massacre Aérien, une aventure de Kebra (un de mes personnages fétiches, par Tramber et Jano), dans laquelle le rat Kebra devient Battler Ratton, et lorsque de son Spitfire il mitraille les avions allemands, il s’exclame : « Hahaha ! Prends ça dans les gencives et va t’faire refaire un ratelier en enfer ».
A noter : une même couverture était utilisée deux fois, la deuxième fois de façon inversée. Dans le cas présent sur les numéros 138 et 339 à 10 ans d'intervalle.
Voir mes commentaires sur ma couverture X-13 Agent Secret
Battler Britton
Editions Imperia - 471 numéros de juillet 1958 à juin 1986, et 81 recueils. Format 13 x 18 cm.
Le pitch : série d’aviation de guerre d’origine britannique. Battler Britton (« le britannique batailleur ») est un pilote de la R.A.F.
Biographie (bref résumé de l’article Battler Britton dans le Dictionnaire mondial de la BD de Patrick Gaumer) : Né en 1956 dans l’hebdomadaire Sun, il poursuit sa carrière anglaise en 1960 dans l’hebdomadaire Knockout, puis dans plusieurs revues de Fleetway Publications (Thriller Picture Library, Air Ace Picture Library, War Picture Library, Battle Picture Library), sans compter les rééditions dans d’autres revues. Les Editions Imperia publient ce titre d’abord dans Garry de février 1957 à juin 1958, puis lui dédient une série à part entière qui connaîtra le grand succès que l’on sait (tirages de 200 000 exemplaires à son apogée). Imperia traduisait les épisodes britanniques de Battler Britton, mais publiait également sous ce titre les aventures d’autres héros anglais de la Seconde Guerre Mondiale, comme Paddy Payne et Jack « Dogfight » Dixon. Progressivement, pour faire face à la demande et parce que les séries anglaises stoppaient, Imperia confia la réalisation à ses dessinateurs espagnols. Des grands dessinateurs ont contribué au titre à un moment ou un autre, Hugo Pratt en constituant le meilleur exemple.
La fréquentation de l’Encyclopédie de Gérard Thomassian (http://www.encyclo-bd.fr/index1.html) est évidemment, mille fois plutôt qu’une, obligatoire pour tous les amoureux des Petits Formats. Concernant Battler Britton, c’est une mine d’informations qui dépasse l’entendement. Comment Gérard a-t-il pu réunir cette somme Kolossal d’informations… ? C’est hallucinant. Tous les amoureux de Battler Britton y trouveront toutes les informations détaillées rêvées.
Mon cher Battler Britton fut le héros de plusieurs générations de préadolescents et adolescents. Battler Britton est une référence cultissime, et je citerai, à titre d’exemple : Massacre Aérien, une aventure de Kebra (un de mes personnages fétiches, par Tramber et Jano), dans laquelle le rat Kebra devient Battler Ratton, et lorsque de son Spitfire il mitraille les avions allemands, il s’exclame : « Hahaha ! Prends ça dans les gencives et va t’faire refaire un ratelier en enfer ».
A noter : une même couverture était utilisée deux fois, la deuxième fois de façon inversée. Dans le cas présent sur les numéros 138 et 339 à 10 ans d'intervalle.
2 comments

mmaillot
Jan 24, 2021, 8:52 PM
Battler Britton a fait partie de ces BD considérées comme bas de gamme à l’origine. Le format, le prix, la profusion de titres, le public auquel il s’adressait. Passait pour les enfants quand on les autorisait, mais des adultes, c’était difficilement compris. Et pourtant je me rappelle que c’était souvent par eux qu’on les récupérait une fois lu rapidement sans vraiment en prendre soin. Le fascicule replié sur lui-même pour tenir dans une main pendant qu’on cassait la croute de l’autre ou en fumant une gauloise ou une gitane au papier jauni. Je m’en souviens encore quand nous étions du côté de Saint-Hilarion ou Gazeran et tant pis pour les tristes, nous on adorait mon frère et moi. De toute manière et de façon générale, la BD au début des années soixante c’était tout de même pour les attardés. Heureusement que de ce côté-là au moins les choses ont changé, qu’une génération de créateurs pourtant là pour certains depuis des lustres ont donné ses lettres de noblesse au 9e art. Finalement aspirés par ces productions même si malheureusement plutôt tardivement et sans doute pas encore assez le petit format gagne peu à peu les cœurs si ce n’est des titres de noblesse. Bref, en tout cas des choses à découvrir ou à redécouvrir sous de splendides couvertures qui n’ont rien à envier à des titres américains, loin de là. Rino Ferrari est un de ces artistes extraordinaires qui ont fait vendre une palanquée de titres tous plus séduisants que les autres sous le satiné de leur couverture. Ferrari y a réalisé des petits chefs-d’œuvre tout comme Félix Molinari. Magnifique rendu ici de la mer qui bat les flancs des héros en difficulté extrême traduit de façon aussi impressionnante par leurs expressions ou poses de leurs corps. Félicitations !

Kiki06
Oct 8, 2019, 9:45 PM
Ces couvertures étaient de vraies œuvres d'art.
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