Rahan Fils de Crâo - Le Fleuve de la mort - Chéret

Rahan, fils de Crâo

Superbe planche Originale N°1 de l'histoire "celui qui a tué le fleuve"
Avec une très belle 1ère case grand format

1- Prépubliée dans Pif n° 223 du 4 juin 1973
Titre " Le Promteur" avec Horace de Poirier en couverture
Edition VAILLANT
Parution le 04/06/1973 soit 12 jours après ma naissance !!!!!!!!

2- Publié ensuite dans le Rahan N°14 des premières intégrales couleurs sortie le 1 Juin 1975.

3- Publié ensuite dans le Rahan N°15 des éditions Vaillant le 01/05/1980
Source de vie pour ceux qui le respectent, tombeau des présomptueux qui le défient.
Crainte de « Ceux-qui-marchent-debout », impuissants face à l’impétuosité de ses flots, ignorants devant l’éternité de son cours.
Rahan, fils de Crâo, l’un des premiers peut-être, eut l’idée du gouvernail et de la voile...
Contient les titres :
L'oiseau qui court
Le captif du grand fleuve
Celui qui avait tué le fleuve

4- Publié ensuite dans RAHAN Tome 7 de la collection Intégrale-Soleil :
Parution le 05/1993 chez Soleil Productions

Et encore et encore pour de nombreuses années ...

Une nouvelle Rahan qui vient se rajouter à ma couverture :
https://www.2dgalleries.com/art/rahan-couverture-integrale-edition-soleil-n-16-160555

Aussi un grand moment d'émotion car c'est mon premier achat aux enchères & ma première de Rahan.

Comment ne pas redescendre gamin ?? même à 50 piges ??

D'autant plus que cette planche a été publié dans PIF 15 jours après ma naissance donc je me plais à m'imaginer que Chéret pouvais être en train de la dessiner lors de ma venue au monde (les passionnés me confirmerons SVP) ou au moins que le PIF étant dans les imprimeries en pleine action quand je suis sorti de mon premier logement.

En fait RAHAN m'appelait tout simplement, il avait faim et je suis arrivé. Voilà !!!


Rahan s'impose depuis les années 1970 comme une figure incontournable de l'hebdomadaire Pif et ses millions de lecteurs.

Le dessin de Chéret, par la puissance de ses personnages et la perfection de son encrage, fait de lui l'égal des plus grands dessinateurs américains, comme John Buscema (Conan) ou Russ Manning (Tarzan).
Mais contrairement aux productions américaines, « l'homme des âges farouches » se distingue par sa vision romantique du progrès, par sa dimension humaniste et une approche, visible ici, naturaliste et sensuelle que ne supporterait pas le puritanisme américain.