Dans la collection de blackagar
Les Pionniers de l'Esperance "l'éponge de l'espace"
Feutre
Encre de chine et blanco
Ajoutée le 10/01/2023
Lien copié dans le presse-papier !








Description
Planche format A3 sur scholler
Inscriptions / Signatures
Collant des Editions Vaillant et numéro Vaillant 1349
Commentaire
Trop souvent oublié, Raymond POIVET a été en son temps un immense artiste révéré par ses Confrères et considéré comme un Maitre.
Il est pour moi, une influence directe (même si inconsciente) pour Jean Claude MEZIERES sur Valerian et Laureline ce couple aux aventures spatiales ayant été précédé sur les chemins de l'espace par MAUD et THANGA.
pour LES PIONNIERS, les histoires de Roger LECUREUX sont souvent inventives même si le format de récits en 20 pages limite le souffle épique mais il faut reconnaitre que dans la première période des pionniers lorsque les récits étaient à suivre les aventures étaient véritablement novatrices et fascinantes;
Vous pouvez vous plongez ou vous replongez dans "le jardin fantastique" ou dans "Kataraz la maudite" pour être emporté dans une science fiction de très haute qualité.
La présente planche est issue d'un récit en 20 pages publié dans PIF GADGET n°102 "l'éponge de l'espace" dans lequel nos héros atterrissent sur un astéroïde étrange parsemé d'excavations que MAUD et THANGA nous feront une joie d'explorer.
Les Monstres ressemblent à des animaux terrestres géants, et la rencontre avec une abeille de plusieurs tonnes est formidablement réussie.
Cette période est celle ou le trait de Raymond POIVET se simplifie à outrance atteignant une épure parfaite donnant au dessin de sa planche une lisibilité incroyable.
Une série à redécouvrir avec bonheur en espérant que FORBIS tiendra son engagement de publier l'intégrale.
Il est pour moi, une influence directe (même si inconsciente) pour Jean Claude MEZIERES sur Valerian et Laureline ce couple aux aventures spatiales ayant été précédé sur les chemins de l'espace par MAUD et THANGA.
pour LES PIONNIERS, les histoires de Roger LECUREUX sont souvent inventives même si le format de récits en 20 pages limite le souffle épique mais il faut reconnaitre que dans la première période des pionniers lorsque les récits étaient à suivre les aventures étaient véritablement novatrices et fascinantes;
Vous pouvez vous plongez ou vous replongez dans "le jardin fantastique" ou dans "Kataraz la maudite" pour être emporté dans une science fiction de très haute qualité.
La présente planche est issue d'un récit en 20 pages publié dans PIF GADGET n°102 "l'éponge de l'espace" dans lequel nos héros atterrissent sur un astéroïde étrange parsemé d'excavations que MAUD et THANGA nous feront une joie d'explorer.
Les Monstres ressemblent à des animaux terrestres géants, et la rencontre avec une abeille de plusieurs tonnes est formidablement réussie.
Cette période est celle ou le trait de Raymond POIVET se simplifie à outrance atteignant une épure parfaite donnant au dessin de sa planche une lisibilité incroyable.
Une série à redécouvrir avec bonheur en espérant que FORBIS tiendra son engagement de publier l'intégrale.
6 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter
A propos de Raymond Poïvet
Raymond Poïvet fait des études d'art et d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris et se lance très vite dans le dessin d'illustration et de mode.
C'est précisément en 1945 dans Vaillant que Poïvet crée les premières bandes dessinées françaises de science-fiction d'après guerre Les Pionniers de l'Espérance, sur des scénarios de Roger Lécureux alors âgé de 22 ans dont c'est le 1er scénario véritablement élaboré (la même année, le pendant de la série dans Coq Hardi devient la Guerre à la Terre, d'Auguste Liquois — puis Dut — et Marijac, jusqu'en 1948). Rapidement, cette série culte — dont la longévité est remarquable, puisqu'elle durera jusqu'en 1973 — est reconnue comme un modèle par la profession, au même titre que celles des grands dessinateurs américains comme Hal Foster, Milton Caniff ou Alex Raymond. Pourtant, en 1973, Poïvet est brutalement « remercié » par l'éditeur Vaillant, sans aucune explication.
Raymond Poïvet dessine également d'autres bandes pour différents magazines : Colonel X dans le Coq hardi, Le Sous-marin pirate dans Robin l'Écureuil (1946) ...
Vers la fin de sa vie, il préfère se consacrer au dessin au feutre, au fusain ou à la gouache, et explorer les grandes figures de la mythologie.