Dans la collection de vak
Raymond Poïvet,
1647 

"allo! Nous avons retrouvé M.I.X. 315"

Planche originale
1965
Encre de Chine
Encre de Chine + feutre.
50 x 32.5 cm (19.69 x 12.8 in.)
Partager
Une image, un chef d'oeuvre.
Une seconde image, et toujours un chef d'oeuvre.
Une troisième image. Wahoo !

Description

Planche 12 (dernière) de cette histoire qui influença Moebius lors de la création de Arzak en 1975 (donc 10 ans après Poïvet).

Commentaire

Cette BD de 12 planches fut dessinée en 1965. Elle fut publiée pour la première fois en 1971 dans Comics 130. Rééditée dans le livre "Poïvet" publié lors du festival de Montgeron en 1992. Repris sur le site internet de la Cité de la BD à Angoulème. Et enfin réédité dans le numéro spécial science-fiction de Beaux-Arts magazine en 2017.
Pour tout savoir sur cette oeuvre : http://neuviemeart.citebd.org/spip.php?article437

5 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter

A propos de Raymond Poïvet

Raymond Poïvet fait des études d'art et d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris et se lance très vite dans le dessin d'illustration et de mode. C'est précisément en 1945 dans Vaillant que Poïvet crée les premières bandes dessinées françaises de science-fiction d'après guerre Les Pionniers de l'Espérance, sur des scénarios de Roger Lécureux alors âgé de 22 ans dont c'est le 1er scénario véritablement élaboré (la même année, le pendant de la série dans Coq Hardi devient la Guerre à la Terre, d'Auguste Liquois — puis Dut — et Marijac, jusqu'en 1948). Rapidement, cette série culte — dont la longévité est remarquable, puisqu'elle durera jusqu'en 1973 — est reconnue comme un modèle par la profession, au même titre que celles des grands dessinateurs américains comme Hal Foster, Milton Caniff ou Alex Raymond. Pourtant, en 1973, Poïvet est brutalement « remercié » par l'éditeur Vaillant, sans aucune explication. Raymond Poïvet dessine également d'autres bandes pour différents magazines : Colonel X dans le Coq hardi, Le Sous-marin pirate dans Robin l'Écureuil (1946) ... Vers la fin de sa vie, il préfère se consacrer au dessin au feutre, au fusain ou à la gouache, et explorer les grandes figures de la mythologie.