Dans la collection de Difool
La fuite du cerveau
Encre de Chine
35 x 50 cm (13.78 x 19.69 in.)
Les dimensions sont celles de la feuille
Ajoutée le 11/09/2022
Lien copié dans le presse-papier !

Description
La fuite du cerveau, planches 98 et 99.
Inscriptions / Signatures
Signée en bas à droite
Commentaire
L'histoire
Le 18 avril 1955, Albert Einstein passe de vie à trépas. Pour la science, c'est une perte terrible. Pour Thomas Stolz, médecin chargé de l'autopsie, c'est une chance inouïe. Il subtilise le cerveau du savant afin de l'étudier. S'il perce ses mystères, il connaîtra la gloire... Le problème, c'est que le corps d'Einstein le suit ! Privé de cerveau, Albert continue à bouger, à marcher, à parler. La perspective de comprendre le fonctionnement de ses neurones l'excite au plus haut point. « Formidable ! On va faire ça ensemble, tous les deux ! », dit-il à Stolz. Reste à trouver un laboratoire à l'abri des regards. Ce qui n'a rien d'évident quand on a le FBI aux trousses...
Après le succès de Pereira Prétend et de Malaterre, Pierre-Henry Gomont change de registre. Il nous entraîne dans un road movie échevelé et drolatique, inspiré par la véritable destinée du cerveau d'Einstein. Menée tambour battant, cette histoire rocambolesque et burlesque, servie par un dessin épris de liberté, est aussi une réflexion passionnante sur la complexité de l'âme humaine. Une histoire échevelée, émouvante, pleine de rebondissements et d’un humour qui doit beaucoup aux comédies américaines de Howard Hawks ou de Billy Wilder.
La planche
Une planche qui réunit les principaux protagonistes, Thomas Stolz, la belle Marianne, et bien sûr, Einstein ! Le dessin est très stylisé, expressif, et d'un grand dynamisme. Cette planche fait également l'objet d'une belle qualité d'encrage.
Le 18 avril 1955, Albert Einstein passe de vie à trépas. Pour la science, c'est une perte terrible. Pour Thomas Stolz, médecin chargé de l'autopsie, c'est une chance inouïe. Il subtilise le cerveau du savant afin de l'étudier. S'il perce ses mystères, il connaîtra la gloire... Le problème, c'est que le corps d'Einstein le suit ! Privé de cerveau, Albert continue à bouger, à marcher, à parler. La perspective de comprendre le fonctionnement de ses neurones l'excite au plus haut point. « Formidable ! On va faire ça ensemble, tous les deux ! », dit-il à Stolz. Reste à trouver un laboratoire à l'abri des regards. Ce qui n'a rien d'évident quand on a le FBI aux trousses...
Après le succès de Pereira Prétend et de Malaterre, Pierre-Henry Gomont change de registre. Il nous entraîne dans un road movie échevelé et drolatique, inspiré par la véritable destinée du cerveau d'Einstein. Menée tambour battant, cette histoire rocambolesque et burlesque, servie par un dessin épris de liberté, est aussi une réflexion passionnante sur la complexité de l'âme humaine. Une histoire échevelée, émouvante, pleine de rebondissements et d’un humour qui doit beaucoup aux comédies américaines de Howard Hawks ou de Billy Wilder.
La planche
Une planche qui réunit les principaux protagonistes, Thomas Stolz, la belle Marianne, et bien sûr, Einstein ! Le dessin est très stylisé, expressif, et d'un grand dynamisme. Cette planche fait également l'objet d'une belle qualité d'encrage.
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A propos de Pierre-Henry Gomont
Pierre-Henry Gomont est un auteur de bande dessinée et illustrateur français, plusieurs fois primé pour ses ouvrages.