Dans la collection de Bobby75 
Fins de siècle par Enki Bilal - Illustration originale
1468 

Fins de siècle

Illustration originale
2021
Crayon
Mine de plomb & Encre rouge
24 x 32 cm (9.45 x 12.6 in.)
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Dessin (avant dédicace)
Coffret
Contenu du coffret
Image inédite, signée et numérotée (37/40)
Texte de Christin, signé
Encadrée et protégée (verre musée)

Description

Illustration originale (nominative) venant compléter le coffret « Fins de Siècle », édité en 40 exemplaires (+ EA) numérotés et signés (éditions Christian Collin).

Inscriptions / Signatures

Signée "Bilal", datée (2021) et dédicacée.

Commentaire

Pour paraphraser Deneyer (Petites histoires originales), la plupart des collections se « forment sur des émotions et des souvenirs personnels » […] et « se déclinent selon les goûts et la sensibilité » de chacun.

Si j’ai baigné moi aussi durant mon enfance dans les œuvres d’Hergé, d’Uderzo ou de Franquin, ma mythologie personnelle va plutôt puiser sa source chez les auteurs des années 80, plus en phase avec mon adolescence et ma vie de jeune adulte. Question de goût et de sensibilité donc ou encore de référentiel personnel et générationnel sur fond de guerre froide et de prolifération nucléaire. Et pour paraphraser Boris cette fois, quelle ne fut pas la claque « tant sur le fond que sur la forme » que la découverte des œuvres de Bilal et Christin, et « Partie de chasse » en particulier. Depuis ces années-là, Enki Bilal a trouvé et conservé une place bien à part dans mon panthéon.

Par le plus grand des hasards, j’ai eu vent début décembre de cette singulière initiative des éditions Collin qui m’a permis d’acquérir ce beau coffret et surtout cette belle illustration de Bilal, nominative certes, mais loin de la dédicace.

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A propos de Enki Bilal

Enes Bilal, dit Enki Bilal est un réalisateur, illustrateur, dessinateur et scénariste de bande dessinée né en 1951 à Belgrade et installé en France. Son œuvre se situe en partie dans la science-fiction et aborde notamment les thèmes du temps et de la mémoire. En 1987, il obtient le grand prix du festival d'Angoulême.