Dans la collection de Carbonnieux
1961 - Gil Jourdan : Surboum pour 4 roues
Encre de Chine
Ajoutée le 08/12/2014
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Description
Planche 28 publiée dans Spirou n°1238 du 4 janvier 1962.
Surboum pour quatre roues est la sixième histoire de Gil Jourdan de Maurice Tillieux.
Elle sera prépubliée du no 1225 au no 1248 du journal Spirou. Puis est en album souple chez Dupuis en 1963.
Surboum pour quatre roues est la sixième histoire de Gil Jourdan de Maurice Tillieux.
Elle sera prépubliée du no 1225 au no 1248 du journal Spirou. Puis est en album souple chez Dupuis en 1963.
Commentaire
En dehors du fait que j'adore Tillieux, cette planche-ci est une madeleine toute particulière.
En effet, j'avais quinze ans quand je découvre le dernier BDM qui vient de paraitre avec sa couverture où Gaston Lagaffe émerge en spéléologue, tenant en main le BDM en question !
Hormis les côtes des albums en francs belges/français, c'est le dernier chapitre consacré aux planches originales qui sera ma toute première découverte en la matière.
On y abordait les tendances tarifaires de cette époque avec une double planche du Sceptre d'Ottokar étiquetée à 3.250 €, une Blueberry à 500 €, et cette Surboum à moins de cent euros.
Six ans plus tard, le petit catalogue édité par la Chambre belge des experts sous le titre "Argus des planches originales de BD" constatait le status quo de la côte de Tintin quand les Gil Jourdan s'envolaient à 350 € la planche ...
À Paris, les vols de fourgonnettes se multiplient. L'un des voleurs meurt dans un accident de la circulation, alors qu'il avait été pris en chasse par sa victime ; son complice, Toni le martiniquais, s'en tire sans casse. L'inspecteur chargé de l'enquête, collègue de Crouton, ne comprend pas ce qui pousse une bande, à priori organisée, à dérober autant de fourgonnettes (voir ici: http://2dg.me/121e)
À l'agence Jourdan, en plus de son journal du matin, Gil reçoit une lettre qui ne lui est pas adressée (ou peut-être...). Ouverte par mégarde par Libellule, celle-ci contient des menaces envers la vie de son destinataire. Décidant, au vu du calme qui règne à l'agence, d'aller porter lui-même la lettre à l'intéressé, un dénommé Marc Rouleau, il part avec Libellule en direction de Savajols, en Lozère.
Arrivés à Savajols,après quelques péripéties, Jourdan et Libellule se présentent à Marc Rouleau. Celui-ci, un ancien de la "Coloniale", n'est guère impressionné par ces menaces, même s'il reconnaît que la mention d'un "chien noir" est exacte : une légende de la région en parle, et il a aperçu plusieurs fois sa sihouette ces derniers temps. Mais ne tenant pas à céder à ce chantage, il a décidé de faire front seul. Il invite toutefois Jourdan et son collaborateur à séjourner quelque temps chez lui. Le soir du 15 juin, qui avait été cité dans la lettre comme échéance, Rouleau abat le fameux chien. Ils l'enterrent dans le jardin ; Jourdan découvre à l'occasion que des abats avaient été semés dans le jardin, attirant ainsi l'animal. La nuit suivante, la tombe a été ouverte...
En effet, j'avais quinze ans quand je découvre le dernier BDM qui vient de paraitre avec sa couverture où Gaston Lagaffe émerge en spéléologue, tenant en main le BDM en question !
Hormis les côtes des albums en francs belges/français, c'est le dernier chapitre consacré aux planches originales qui sera ma toute première découverte en la matière.
On y abordait les tendances tarifaires de cette époque avec une double planche du Sceptre d'Ottokar étiquetée à 3.250 €, une Blueberry à 500 €, et cette Surboum à moins de cent euros.
Six ans plus tard, le petit catalogue édité par la Chambre belge des experts sous le titre "Argus des planches originales de BD" constatait le status quo de la côte de Tintin quand les Gil Jourdan s'envolaient à 350 € la planche ...
À Paris, les vols de fourgonnettes se multiplient. L'un des voleurs meurt dans un accident de la circulation, alors qu'il avait été pris en chasse par sa victime ; son complice, Toni le martiniquais, s'en tire sans casse. L'inspecteur chargé de l'enquête, collègue de Crouton, ne comprend pas ce qui pousse une bande, à priori organisée, à dérober autant de fourgonnettes (voir ici: http://2dg.me/121e)
À l'agence Jourdan, en plus de son journal du matin, Gil reçoit une lettre qui ne lui est pas adressée (ou peut-être...). Ouverte par mégarde par Libellule, celle-ci contient des menaces envers la vie de son destinataire. Décidant, au vu du calme qui règne à l'agence, d'aller porter lui-même la lettre à l'intéressé, un dénommé Marc Rouleau, il part avec Libellule en direction de Savajols, en Lozère.
Arrivés à Savajols,après quelques péripéties, Jourdan et Libellule se présentent à Marc Rouleau. Celui-ci, un ancien de la "Coloniale", n'est guère impressionné par ces menaces, même s'il reconnaît que la mention d'un "chien noir" est exacte : une légende de la région en parle, et il a aperçu plusieurs fois sa sihouette ces derniers temps. Mais ne tenant pas à céder à ce chantage, il a décidé de faire front seul. Il invite toutefois Jourdan et son collaborateur à séjourner quelque temps chez lui. Le soir du 15 juin, qui avait été cité dans la lettre comme échéance, Rouleau abat le fameux chien. Ils l'enterrent dans le jardin ; Jourdan découvre à l'occasion que des abats avaient été semés dans le jardin, attirant ainsi l'animal. La nuit suivante, la tombe a été ouverte...
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A propos de Maurice Tillieux
Maurice Tillieux est un dessinateur et scénariste belge francophone de bandes dessinées, principalement connu pour être l'auteur et le créateur des séries Gil Jourdan, Félix, César et comme créateur et scénariste des séries Marc Lebut et son voisin et Jess Long.