Nom de la galerie : ROMAN Olivier
Créée par : VINBLOOD
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Description:
Lorsque je fais la connaissance d’Olivier Roman à Lagrasse (Aude ) durant la Foire aux Images 2019, il a déjà une belle carrière derrière lui.
Ainsi, après avoir animé de 1992 à 2009 , le détective américain Harry Dickson (13 albums), après avoir fréquenté les sociétés secrètes de la France du XIXème ( 2 tomes, « Alchimie », 2010 et 2011), puis la littérature post-apocalyptique (4 tomes ,« Les fables de l’Humpur », 2013 à 2016 )...
c’est donc à l’occasion de la sortie du 3ème tome de la collection « Rendez-vous avec X » éditée par Comix Buro que nous nous rencontrons.
Le scénario de Virginie Greiner fait merveille pour évoquer « Mata-Hari » qui semble plus « bouc émissaire » utile pour un état major français -prompt à trouver un responsable expiatoire à ses propres manquements - que scélérate fatale.
Proposant des mises en scènes soignées autant qu’une disposition des cases souvent originale, Olivier Roman confie ses planches crayonnées à l’éditeur.
N’empêche...la première étape de son travail est admirable. Ses planches préliminaires lui servent de base pour la réalisation, via l’usage de la table lumineuse, de la version finale qu’il laisse à la mine de plomb. En effet, après le dernier Harry Dickson, il a abandonné l’encrage.
Ainsi, après avoir animé de 1992 à 2009 , le détective américain Harry Dickson (13 albums), après avoir fréquenté les sociétés secrètes de la France du XIXème ( 2 tomes, « Alchimie », 2010 et 2011), puis la littérature post-apocalyptique (4 tomes ,« Les fables de l’Humpur », 2013 à 2016 )...
c’est donc à l’occasion de la sortie du 3ème tome de la collection « Rendez-vous avec X » éditée par Comix Buro que nous nous rencontrons.
Le scénario de Virginie Greiner fait merveille pour évoquer « Mata-Hari » qui semble plus « bouc émissaire » utile pour un état major français -prompt à trouver un responsable expiatoire à ses propres manquements - que scélérate fatale.
Proposant des mises en scènes soignées autant qu’une disposition des cases souvent originale, Olivier Roman confie ses planches crayonnées à l’éditeur.
N’empêche...la première étape de son travail est admirable. Ses planches préliminaires lui servent de base pour la réalisation, via l’usage de la table lumineuse, de la version finale qu’il laisse à la mine de plomb. En effet, après le dernier Harry Dickson, il a abandonné l’encrage.
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