Dans la collection de PALENZA 
Paul Ordner, WALTER FLETCHER   couleur directe - Couverture originale
108 

WALTER FLETCHER couleur directe

Couverture originale
1957
Peinture - acrylique
Aquarelle, encre de Chine, blanc de finition, crayon
24.8 x 32.4 cm (9.76 x 12.76 in.)
Dessin : 19,5 x 21,5
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Description

couverture originale couleur sur papier 120g

Inscriptions / Signatures

signature en bas à gauche : Paul Ordner

Commentaire

revue L'intrepide nouvelle série, numéro spécial n°429 du 16 janvier 1958
Paul Ordner, né le 27 décembre 1901 dans le 10e arrondissement de Paris et mort le 15 octobre 1969 à Neuilly-sur-Seine, est un illustrateur et dessinateur de presse français.
Il commence sa carrière professionnelle, sur les recommandations de son frère Raymond, comme employé à la Bourse de Paris, mais sa passion pour le dessin lui fait réaliser ses premiers pas dans le dessin de presse, et ses premiers dessins paraissent en 1923 dans L'Illustration. Toujours aidé par son frère Raymond, il commence sa carrière de dessinateur de presse et publie dans l'Intransigeant, Le Matin, Paris-Soir, Le Rire, Le Petit Parisien, Ric et Rac… .
Il montre une capacité à figurer le mouvement et l’intensité du combat sportif. Pour travailler, il écrit des notes à partir desquelles il réalise ses dessins, de mémoire, de retour à son atelier.
Rapidement, il s'oriente vers le dessin sportif et, dès 1931, illustre les affiches et programmes des épreuves du vélodrome d'Hiver, du tournoi de Roland-Garros et de combat de boxe de la salle Wagram à Paris. En 1932, il dessine pour d'autres revues comme Rugby, Le Sportsman, et Le Miroir du Monde dont il devient journaliste. Il réalise les campagnes publicitaires, sur la thématique du sport, de la marque Suze. Il est ainsi rapidement le dessinateur attitré de plus d'une vingtaine de journaux de grande diffusion.
À partir de 1935, il réalise les affiches publicitaires pour la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée.
À la suite de la montée du nazisme, afin de dénoncer l'antisémitisme, ses dessins parus dans Le Rire sont de plus en plus violents, montrant même des caricatures peu avantageuses d'Adolf Hitler. Ses dessins, dénonçant ce qui se passe dans l'Allemagne nazie, dans le journal Marianne sont signés du pseudonyme Rendro (son nom inversé). Cela lui occasionnera des ennuis pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il continue à réaliser des dessins publicitaires pour de nombreuses marques comme Kervoline, Castex, les cigarettes Week-end, le Bazar de l'Hôtel de ville etc3.
Lorsque la Seconde Guerre éclate , il est mobilisé et se retrouve en Moselle au 174e régiment d'artillerie lourde portée4. Recherché par les Allemands, pour les raisons évoquées plus haut, il se réfugie d'abord en zone libre puis, avec l'arrivée des troupes allemandes, dans un petit village des Alpes, Saint-Crépin.
En 1945 il réalise, avec Albert Dubout, l'affiche du film Le Dictateur que l'on peut voir, place de Clichy, au cinéma Gaumont Palace, et en 1946 il reprend son activité dans les journaux sportifs, se lance dans la bande dessinée et réalise des affiches pour des partis politiques.
Entre 1947 et 1966, il réalise une cinquantaine de couvertures pour le mensuel Le Chasseur français5.
En 1949, il dessine des couvertures pour France Football, réalise des dessins pour L'Équipe et commence sa collaboration avec les éditions Larousse en réalisant des planches entières consacrées au sport, pour le dictionnaire. De 1951 à 1955, il est présent dans le Le Miroir des sports avec des portraits d'athlètes et dessine également pour L'Équipe junior. À partir de 1956, il dessine pour les hebdomadaires nationaux comme Radar, La Semaine du Monde et France Dimanche et à partir de 1957, il réalise les couvertures de la presse enfantine des Éditions Mondiales comme L'Intrépide, Aventures Boum, Old Bridger, Joé Texas, Hurrah ! et Tom Nickson.
Étant ami du duc et de la duchesse de Windsor, il a l'occasion de réaliser des cadrans de montre, pièces uniques offertes en cadeau à la famille royale d'Angleterre.
Vers la fin de sa vie, avec l'arrivée de la photographie, dessinant de moins en moins pour la presse sportive, il va exercer son talent aux éditions Photochrom à Toulouse en publiant des cartes postales humoristiques, et en 1969 il participe, en dessinant quelques footballeurs, à la renaissance de l'hebdomadaire But !.
Il meurt le 15 octobre 1969 à Neuilly-sur-Seine1.
Après un stage aux USA NYSE, Boston, Los Angeles, CBOT, CBOE, Bourse de Monréal et de Toronto (pendant plusieurs mois), j'ai commencé sur le MATIF en avril 1987. Et je faisais ma thèse de troisième cycle en même temps. Je n'ai pas beaucoup dormi pendant des mois et en plus les marchés étaiant très tendus, rappelez-vous le 19 octobre 1987. J'avoue que je me suis fait aider pour cette thèse. En effet, j'ai commencé chez TUFFIER-RAVIER-PY et il y avait des personnes super callées dont Jean-François RIAL(Voyageurs du Monde) , Lionel HABAQUE (Terres d'Av) Il faut dire qu'ils ont fait l'ISUP. Puis ) la faillite de TUFFIER j'ai intégré une société que le groupe avait racheté, NOCOL et Cie, sur le marché monétaire. Puis je suis allé chez AUREL-LEVEN sur la marché obligataire. Puis en 2007, j'ai quitté les marchés et ai racheté un courtier d'assurances. Comme je le disais souvent, sur les marchés on ne bossait pas énormément et on gagnait bien sa vie, comme courtire d'assurances, j'ai travaillé comme un dingue et n'ai pas gagné grand chose. Sauf en début de carrière, je bossais tous les jours et feu ma mère à Noël 1987, me sit :"Joseph, on dirait que tu fais la tête", et j'ai répondu : "non, mais je ne suis pas au bureau"

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