Tiburce - Ma Guerre - Page 40 - 4ème de Couverture

Grande Page couleur N° 40
Ma guerre - De La Rochelle à Dachau - One Shot

L'histoire du grand-père de Tiburce Oger résistant lors de la 2ème guerre mondiale
& dont le papa était Cheminot (voir case BD en image), la SNCF ayant été grosse pourvoyeuse de résistants

Idée venue de Tiburce Oger pour la contribution à cette galerie des trains

Un grand merci à lui & sa gentillesse ....
Etant moi même fils de cheminot, j'ai eu cette occasion d'échanger avec mon père sur cette période de l’entreprise (plus familiale a l’époque).

Parution en 2017 chez l'éditeur Rue de Sèvres

La planche est coupée au 2/3.
Le dessin de bas de page à servi à la 4ème de couverture de l'album.

Signée Par Tiburce & datée de 2017

Après quelques échanges avec Tiburce ici sur 2D, il m'a aimablement proposé des planches sur cet album que je ne connaissais pas & sur laquelle je pouvais trouver mon bonheur en train.

Cette BD a été une super découverte qui nous rappelle, s'il le fallait encore une fois, cette période de notre histoire & les personnes qui se sont sacrifiées pour nous.
Tiburce apporte ici sa contribution à notre devoir de mémoire.
Une BD à faire lire à nos enfants ou certains de nos adultes nostalgique d'une certaine époque.

Concernant le dessin, on y retrouve le trait & les couleurs de Tiburce même si les cases sont "moins" fournies mais qui donne un certain cadre à ses planches que j'ai beaucoup apprecié à la lecture

les dialogues sont peu fournis mais d'une précison extrème qui concorde bien avec le dessin de Tiburce.

Encore un dessin en King Over-Size (65 cm de haut ca claque) comme disent les jeunes mais qui ne met que en valeur le travail de Tiburce.


Le Speech :

Voici le témoignage de Guy-Pierre Gautier, grand-père de l'auteur, survivant de Dachau.
Engagé en 1943 dans la brigade « Liberté » des francs-tireurs et partisans de La Rochelle, il s'emploie à des sabotages de voies ferrées et au renseignement.
La bravoure côtoie l'insouciance.
A l'arrestation du réseau, les difficultés commencent avec les interrogatoires par la gestapo, une mutinerie de la prison d'Eysses, les fusillés.
Le cauchemar s'installe lors du voyage infernal en wagons à bestiaux jusqu'à Dachau. Le courage masque alors à peine la frayeur.
Le récit poignant d'un survivant, jour après jour, souffrance après souffrance, jusqu'à l'apparition de la silhouette immense d'un G.I. américain qui annonce la fin du cauchemar le 30 avril 1945.