Dans la collection de SupHermann
The return of Monkey
Encre de Chine
Tampon date au dos (mars 93)
21 x 32 cm (8.27 x 12.6 in.)
Ajoutée le 16/03/2024
Lien copié dans le presse-papier !



Description
« The return of Monkey »
Single page gag
- Dirty Plotte # 7 (September 1993)
- En France chez Chacal Puant
- Réédition dans "Monkey and the Living Dead", édition l'Association, avril 1999
- Réédition dans Maxiplotte, édition l'Association, novembre 2021, page 285
Single page gag
- Dirty Plotte # 7 (September 1993)
- En France chez Chacal Puant
- Réédition dans "Monkey and the Living Dead", édition l'Association, avril 1999
- Réédition dans Maxiplotte, édition l'Association, novembre 2021, page 285
Inscriptions / Signatures
Signé "jd" dans la planche en bas à droite et au crayon papier dessous
Commentaire
Monkey and the Living Dead fait partie des histoires les plus oniriques et les plus underground de Julie Doucet. Un chat obsédé sexuel s'éprend d'une petite chatte ingénue et perverse...
La Québécoise est sans aucun doute la reine de la bande dessinée underground et alternative. Elle est aussi la pionnière de l’autobiographie et de l’autofiction.
Son style expressionniste, ligne crade, allie néo punk et surréalisme. Son influence reste majeure et elle aura durablement marqué bon nombre d’auteurs des deux côtés de l’Atlantique.
Julie Doucet est originaire de Saint-Lambert et a étudié les arts graphiques et plastiques à l’Université du Québec à Montréal.
En 1988 elle sort son fanzine Dirty Plotte, où elle raconte, en français et en anglais, sa vie quotidienne, ses rêves, ses angoisses et autres sujets livrés sans pudeur.
Lancée sous forme de photocopies, la série fait son chemin pour être ensuite publiée par Drawn & Quarterly.
Elle s’est aussi distinguée avec les titres My Most Secret Desire et Changement d’adresses.
Elle quitte la bande dessinée en 2006.
- Prix Harvey best new talent, 1991
- Temple de la renommée de la bande dessinée canadienne, 2017
- Prix Albert-Chartier 2021, Festival Québec BD
- Grand Prix de la Ville d'Angoulême 2022
L'artiste décrite par la CIBD
https://www.citebd.org/neuvieme-art/rever-comme-en-plein-jour-les-nocturnaux-graphiques-de-julie-doucet
La Québécoise est sans aucun doute la reine de la bande dessinée underground et alternative. Elle est aussi la pionnière de l’autobiographie et de l’autofiction.
Son style expressionniste, ligne crade, allie néo punk et surréalisme. Son influence reste majeure et elle aura durablement marqué bon nombre d’auteurs des deux côtés de l’Atlantique.
Julie Doucet est originaire de Saint-Lambert et a étudié les arts graphiques et plastiques à l’Université du Québec à Montréal.
En 1988 elle sort son fanzine Dirty Plotte, où elle raconte, en français et en anglais, sa vie quotidienne, ses rêves, ses angoisses et autres sujets livrés sans pudeur.
Lancée sous forme de photocopies, la série fait son chemin pour être ensuite publiée par Drawn & Quarterly.
Elle s’est aussi distinguée avec les titres My Most Secret Desire et Changement d’adresses.
Elle quitte la bande dessinée en 2006.
- Prix Harvey best new talent, 1991
- Temple de la renommée de la bande dessinée canadienne, 2017
- Prix Albert-Chartier 2021, Festival Québec BD
- Grand Prix de la Ville d'Angoulême 2022
L'artiste décrite par la CIBD
https://www.citebd.org/neuvieme-art/rever-comme-en-plein-jour-les-nocturnaux-graphiques-de-julie-doucet
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A propos de Julie Doucet
Julie Doucet, née à Saint-Lambert est une autrice de bande dessinée québécoise. Elle a réalisé des œuvres classées dans la bande dessinée alternative, mais aussi féministe, dont son fanzine Dirty Plotte.
Julie Doucet étudie les arts plastiques au cégep du Vieux Montréal au début des années 1980. C'est là qu'elle découvre la bande dessinée. Elle s'inscrit ensuite à l'Université du Québec à Montréal, où elle étudie les arts graphiques (art de l'impression) et plastiques. Elle fait ses débuts dans le numéro 2 de la revue Tchiize! (bis) publiée par Yves Millet au milieu des années 1980. Elle collabore ensuite à L’Organe (devenu Mac Tin Tac) et à Rectangle, deux revues qui verront éclore toute une génération d'auteurs « underground » québécois majeurs.
Entre 1988 et 1990, Doucet crée son fanzine, Dirty Plotte (14 numéros). Elle y raconte ses rêves, qu'elle note, et ses fantaisies ou ses angoisses, en n'ayant jamais peur de choquer - sa pudeur prend une forme inattendue : alors qu'elle évoque sans problème des sujets tels que la sexualité ou les menstruations, elle évitera toujours de parler de sa famille ou de ses amis.
Ses pages sont reprises par des revues comme Heck!, Rip-Off Comix, Wimmen Comix, Buzzard, Weirdo ou en France Chacal Puant.
En 1990, le fondateur de la maison d'édition Drawn and Quarterly, Chris Oliveros, publie Dirty Plotte sous forme de comic-book. C'est le point de départ d'une reconnaissance importante pour Julie Doucet, qui est alors admirée par des auteurs tels que Robert Crumb, Charles Burns ou encore Art Spiegelman.