Dans la collection de Ludovic 
Kyuta Ishikawa, Super Rose - スーパーローズ - La sorcière du miroir - Planche originale
626 

Super Rose - スーパーローズ - La sorcière du miroir

Planche originale
1960
Encre de Chine
18 x 27.5 cm (7.09 x 10.83 in.)
Partager
Super Rose Volume 4
Annonce - Août 1960

Description

スーパーローズ - Super Rose
Épisode La sorcière du miroir (鏡の魔女) - Partie 3
Planche 1
Première publication dans Hitomi - (ひとみ) - Showa 35-10 (octobre 1960)
Encre de Chine

Commentaire

A propos de Kyuta Ishikawa (石川球太) et de Super Rose

Kyuta Ishikawa (1940-2018) fait ses débuts en 1955 dans Manga Shōnen de l'éditeur Gakudōsha et devient l’assistant de Suzuki Mitsuaki et d’Ushio Souji. En 1957, il forme Musashino Production et en 1966, réalise son chef-d’œuvre Fang King publié dans Weekly Shonen. En 1969, le jeune Jirō Taniguchi arrive à Tokyo pour devenir mangaka et rejoint l'atelier d'Ishikawa où il restera cinq ans son assistant.

Super Rose a été initialement publié dans l’éphémère magazine Hitomi de 1959 à 1961, année où il a cessé de paraître. Ses différentes aventures ont ensuite été rassemblées en quatre volumes chez Apple Box de 1993 à 1998.

Super Rose est considéré comme le premier manga de super-héroïne Mahō Shōjo (魔法少女) (Magical Girl), sous-genre centré sur les jeunes filles aux supers pouvoirs. L’histoire s’articule autour de Mayumi Makimura, fille d’un scientifique renommé, qui frappée par un météore, développe un alter ego secret, Super Rose. Au fil des aventures, elle déjoue les plans d’une série de méchants. Pour ce faire, elle possède de nombreux supers pouvoirs (vol, vision à rayons X) et gadgets (cape pare-balles, anneau à décharges électriques).

Dans cette aventure, publiée dans Hitomi - (ひとみ) d'août 1960 à janvier 1961 et en 1998 dans le tome 4 d'Apple Box, Super Rose aide une jeune fille qui aspire à devenir ballerine en ayant passé un marché avec une affreuse sorcière très disneyenne, inspirée de la Reine-sorcière et belle-mère de Blanche-Neige.

Thématiques


3 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter