Dans la collection de Kiki06
Description
El Eternauta, parte terza, chapitre 18, planche n°2, publiée à partir de 1981 aux éditions Record, en Argentine, puis dans les revues italiennes l’éternauta et Lanciostory. Publiée également dans les versions intégrales en Italie et en Argentine.
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El Eternauta: tercera parte est la deuxième suite de la bande dessinée argentine L'Éternaute , créée par Héctor Germán Oesterheld et dessinée par Francisco Solano López en 1957. La première suite, El Eternauta: segunda parte , avait été publiée quelques années auparavant, et Oesterheld fut victime d'une disparition forcée peu après. El Eternauta: tercera parte , publiée en 1981, est la première bande dessinée sur le personnage qui n'est pas écrite par Oesterheld, et Solano López a refusé toute participation. Elle a été écrite par Alberto Ongaro, avec des illustrations d'Oswal, Mario Morhain.
De retour dans le présent, Juan Salvo est accablé par la perte apparente de sa femme Elena et de sa fille Martita. Cependant, il commence à avoir des visions de lieux inconnus, découvrant finalement qu'il ne s'agit pas d'hallucinations, mais d'aperçus d'une dimension parallèle. Cette réalité alternative a été créée par inadvertance par des explosions atomiques, qui ont ouvert un portail dimensionnel.
Solano López a reçu des propositions pour dessiner la nouvelle bande dessinée, mais a refusé de le faire en raison des circonstances tragiques de la suite, qui était encore proche dans le temps. Comme Ediciones Record a insisté, il n'a dessiné que quelques visages pour référence future et a demandé que les crédits ne le mentionnent pas. [ 4 ] Il a dessiné les visages des trente premières pages, en se basant sur les brouillons d'Oswal. Morhain a repris le dessin après que les éditeurs de la bande dessinée « aient extrait tout le jus qu'ils pouvaient de ses visages », selon Solano López. La bande dessinée qui en résultait, a-t-il ajouté, était « impersonnelle, froide ».
La série Netflix a adapté ce chef d’oeuvre de la Bd Argentine.
Source : Wikipedia.
De retour dans le présent, Juan Salvo est accablé par la perte apparente de sa femme Elena et de sa fille Martita. Cependant, il commence à avoir des visions de lieux inconnus, découvrant finalement qu'il ne s'agit pas d'hallucinations, mais d'aperçus d'une dimension parallèle. Cette réalité alternative a été créée par inadvertance par des explosions atomiques, qui ont ouvert un portail dimensionnel.
Solano López a reçu des propositions pour dessiner la nouvelle bande dessinée, mais a refusé de le faire en raison des circonstances tragiques de la suite, qui était encore proche dans le temps. Comme Ediciones Record a insisté, il n'a dessiné que quelques visages pour référence future et a demandé que les crédits ne le mentionnent pas. [ 4 ] Il a dessiné les visages des trente premières pages, en se basant sur les brouillons d'Oswal. Morhain a repris le dessin après que les éditeurs de la bande dessinée « aient extrait tout le jus qu'ils pouvaient de ses visages », selon Solano López. La bande dessinée qui en résultait, a-t-il ajouté, était « impersonnelle, froide ».
La série Netflix a adapté ce chef d’oeuvre de la Bd Argentine.
Source : Wikipedia.
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A propos de Francisco Solano Lopez
Francisco Solano López, né à Buenos Aires le 26 octobre 1928, et mort dans cette ville le 12 août 2011, est un dessinateur argentin de bande dessinée.Auteur de bandes dessinées à partir de 1953 aux Éditions Abril, il rencontre le scénariste Héctor Oesterheld avec lequel naît une association de grande importance pour la bande dessinée argentine.
Après avoir travaillé ensemble sur des série comme Uma-Uma et Bull Rockett, ils émigrent aux Éditions Frontera, pour laquelle Solano López dessinera Rolo le marchand adoptivo, Amapola nègre, Joe Zonda, Rayon de lune et, surtout, L'Éternaute.
Dans les années soixante, López part pour l'Europe où il travaille pour la maison d'édition anglaise Fleetway. Il rentre en Argentine en 1976, où il reprend L’Éternaute, toujours en collaboration avec Oesterheld ; dans le même temps, il dessine Slot Barr sur les textes de Riccardo Barreiro.
