Dans la collection de DanielSansespace
Sibylline en danger (T2): Planche 13
Encre de Chine
37 x 47 cm (14.57 x 18.5 in.)
Ajoutée le 26/06/2013
Lien copié dans le presse-papier !

Commentaire
Sibylline
Dessin et scénario: Macherot Raymond
Tome 2 "Sibylline en danger" 1968
Planche 13A-13B
37/47 cm
"Sibylline en danger" est le 2ème album de la série de bande dessinée Sibylline (crée en 1965 par Raymond Macherot) initialement publié dans le journal de Spirou en 1967 du N°1510 au N°1529, à cette occasion la série fait aussi la couverture du N°1521 (l'ouvrage est publié en 1968).
La planche met en scène le petit monde du Bosquet Joyeux, une société animale organisée comme la société humaine. On peut voir sur cette planche le corbeau marchand Flouzemaker qui ne pense qu'à gagner des noisettes (la devise monétaire en cours), le hérisson brigadier Verboten qui n'a pas inventé la poudre ainsi que Clothaire le lapin, agent immobilier en potiron sans oublier le perfide rat Anathème déguisé en Mlle. Elodie. Raymond Macherot est parti du Journal de Tintin et à intégré l'équipe du Journal de Spirou. Vu qu'il ne pouvait plus utiliser son personnage de Chlorophylle resté la propriété du journal Tintin, il choisit comme héros un petit couple de souris Sibylline et Taboum.Il est revenu avec cette série à l'univers champêtre qu'il aime tant. Le trait de Macherot est très appliqué dans cet épisode, il dira à ce sujet:"Sibylline en danger est d'un graphisme plus recherché, plus élaboré. J'ai voulu y mettre trop, croyant bien faire... trop de petites plantes au bord de l'eau, trop de petits détails, je fus la victime inconsciente d'une luxuriance de détails.". Cette planche en donne une démonstration parfaite, la nature est abondante partout. Avec Sibylline en danger, on a encore le ton d'une histoire et le trait d'un Macherot qui n'est pas tombé en dépression.
Raymond Macherot est un auteur de bande dessinée belge né à Verviers le 30 mars 1924 et décédé le 26 septembre 2008.
Dessin et scénario: Macherot Raymond
Tome 2 "Sibylline en danger" 1968
Planche 13A-13B
37/47 cm
"Sibylline en danger" est le 2ème album de la série de bande dessinée Sibylline (crée en 1965 par Raymond Macherot) initialement publié dans le journal de Spirou en 1967 du N°1510 au N°1529, à cette occasion la série fait aussi la couverture du N°1521 (l'ouvrage est publié en 1968).
La planche met en scène le petit monde du Bosquet Joyeux, une société animale organisée comme la société humaine. On peut voir sur cette planche le corbeau marchand Flouzemaker qui ne pense qu'à gagner des noisettes (la devise monétaire en cours), le hérisson brigadier Verboten qui n'a pas inventé la poudre ainsi que Clothaire le lapin, agent immobilier en potiron sans oublier le perfide rat Anathème déguisé en Mlle. Elodie. Raymond Macherot est parti du Journal de Tintin et à intégré l'équipe du Journal de Spirou. Vu qu'il ne pouvait plus utiliser son personnage de Chlorophylle resté la propriété du journal Tintin, il choisit comme héros un petit couple de souris Sibylline et Taboum.Il est revenu avec cette série à l'univers champêtre qu'il aime tant. Le trait de Macherot est très appliqué dans cet épisode, il dira à ce sujet:"Sibylline en danger est d'un graphisme plus recherché, plus élaboré. J'ai voulu y mettre trop, croyant bien faire... trop de petites plantes au bord de l'eau, trop de petits détails, je fus la victime inconsciente d'une luxuriance de détails.". Cette planche en donne une démonstration parfaite, la nature est abondante partout. Avec Sibylline en danger, on a encore le ton d'une histoire et le trait d'un Macherot qui n'est pas tombé en dépression.
Raymond Macherot est un auteur de bande dessinée belge né à Verviers le 30 mars 1924 et décédé le 26 septembre 2008.
Thématiques
16 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter
A propos de Raymond Macherot
Raymond Macherot est un auteur de bande dessinée belge. Teintée d'une poésie très personnelle, l'œuvre de Raymond Macherot exprime, à travers les métaphores animalières, une satire acérée de la société des hommes, dans un état d'esprit « écolo » avant la lettre. Toutefois, cette poésie n'exclut pas un réalisme cruel en ce qui concerne la condition animale, gouvernée par la quête de nourriture.