Dans la collection de Ludo75
Description
Rhinocéros recherche pour studio Warner
Inscriptions / Signatures
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Commentaire
Dessin acheté à l'exposition d'Apostrophes (voir perroquets pour plus de détails).
Concernant le dessin autant les plis dé l'éléphant était un élément central dans un des dessins précédent, ici ce sont les "plaques d'armure" de notre rhino bien placide et pas féroce qui sont le rendu principal. On remarque la chaîne de ce pauvre rhino. La qualité du trait et du dessin (l'expression de l'animal, le rendu en quelques traits sont au rendez-vous ; bravo l’artiste)
Dés l'achat j'ai eu dans l'idée de faire un triptyque (qui a une place particulière dans l'art). Il m'a fallu trouver trois dessins qui me plaisaient individuellement, mais qui puissent aussi se marier ensemble voir raconter une histoire...
A l'arrivée, c'est un de mes encadrements préférés et une "composition qui fonctionne" je trouve... Les couleurs vont bien ensemble dans les gris. Les perroquets sont au centre et l'éléphant et le rhino équilibre le tout (axe de symétrie).
Il est possible de se raconter une histoire... un rhino mange son herbe sous l’œil de quelques perroquets dont notamment le chef, mais l'éléphant le vrai roi de la savane surveille tout ce petit monde tel un colonel.
La baguette est dans les tons des dessins et son aspect "savane" ou "jungle" colle au dessin. Les choix de la baguette et du passe partout étaient des évidences, la disposition des trois dessins à pris du temps. Olivier était pour une composition plus classique avec une inversion de l'éléphant et du rhino pour qu'ils regardent vers l'intérieur, vers les perroquets. Finalement je suis parti sur cette composition car l'histoire me paraissait plus évidente notamment à cause de l'air placide de notre rhinocéros et l'éléphant qui regarde derrière lui. PS : Les couleurs des papiers sont identiques, c'est la photo qui rend mal.
Concernant le dessin autant les plis dé l'éléphant était un élément central dans un des dessins précédent, ici ce sont les "plaques d'armure" de notre rhino bien placide et pas féroce qui sont le rendu principal. On remarque la chaîne de ce pauvre rhino. La qualité du trait et du dessin (l'expression de l'animal, le rendu en quelques traits sont au rendez-vous ; bravo l’artiste)
Dés l'achat j'ai eu dans l'idée de faire un triptyque (qui a une place particulière dans l'art). Il m'a fallu trouver trois dessins qui me plaisaient individuellement, mais qui puissent aussi se marier ensemble voir raconter une histoire...
A l'arrivée, c'est un de mes encadrements préférés et une "composition qui fonctionne" je trouve... Les couleurs vont bien ensemble dans les gris. Les perroquets sont au centre et l'éléphant et le rhino équilibre le tout (axe de symétrie).
Il est possible de se raconter une histoire... un rhino mange son herbe sous l’œil de quelques perroquets dont notamment le chef, mais l'éléphant le vrai roi de la savane surveille tout ce petit monde tel un colonel.
La baguette est dans les tons des dessins et son aspect "savane" ou "jungle" colle au dessin. Les choix de la baguette et du passe partout étaient des évidences, la disposition des trois dessins à pris du temps. Olivier était pour une composition plus classique avec une inversion de l'éléphant et du rhino pour qu'ils regardent vers l'intérieur, vers les perroquets. Finalement je suis parti sur cette composition car l'histoire me paraissait plus évidente notamment à cause de l'air placide de notre rhinocéros et l'éléphant qui regarde derrière lui. PS : Les couleurs des papiers sont identiques, c'est la photo qui rend mal.
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A propos de Claire Wendling
En 1989, encore inscrite à l'école des Beaux-Arts d'Angoulême, elle remporte le prix « Alph'Art avenir » du festival d'Angoulême et intègre les éditions Delcourt en participant à deux ouvrages collectifs, Les Enfants du Nil et Entrechats. En 1990 commence sa seule et unique série, Les lumières de l'Amalou, sur un scénario de Christophe Gibelin.
Claire Wendling est une auteure rare mais a néanmoins un lectorat fidèle et bénéficie de l'admiration de ses pairs.
Souvent comparée à Régis Loisel, Claire Wendling est peut-être plus proche d'auteurs anglo-saxons tels que Jeffrey Catherine Jones ou Mike Mignola.
