Dans la collection de Alda
Poivet / Lécureux / Les Pionniers de l'Espérance
Encre de Chine
32 x 50 cm (12.6 x 19.69 in.)
Ajoutée le 18/11/2013
Lien copié dans le presse-papier !



Description
Les pionniers de l'esperance
Poivet/Lécureux
"La chute d'un tyran" est l'avant dernier épisode des pionniers de l'espérance !
1973
32cm par 50cm
Poivet/Lécureux
"La chute d'un tyran" est l'avant dernier épisode des pionniers de l'espérance !
1973
32cm par 50cm
Commentaire
Poivet s'est mis au feutre qu'au milieu des années 60. A cette époque les feutres étaient des feutres à eaux dont les noirs étaient obtenue avec des violets ou des marrons poussés au plus foncés . Donc peu de pigments résistants au temps.
Début des années 70 Poivet utilise exclusivement le travail au stylo bic ( indélébile ) C'est le premier dans le métier... Et ses noirs sont réalisés avec des marqueurs alcool qu'il faisait légèrement sécher pour jouer avec les nuances. Le marqueur ne bougera pas dans le temps par sa puissance de pigmentation.
Cette planche a 45 ans et n'a pas bouger.
Pas de pliure ni saleté ni déchirure
Début des années 70 Poivet utilise exclusivement le travail au stylo bic ( indélébile ) C'est le premier dans le métier... Et ses noirs sont réalisés avec des marqueurs alcool qu'il faisait légèrement sécher pour jouer avec les nuances. Le marqueur ne bougera pas dans le temps par sa puissance de pigmentation.
Cette planche a 45 ans et n'a pas bouger.
Pas de pliure ni saleté ni déchirure
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A propos de Raymond Poïvet
Raymond Poïvet fait des études d'art et d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris et se lance très vite dans le dessin d'illustration et de mode.
C'est précisément en 1945 dans Vaillant que Poïvet crée les premières bandes dessinées françaises de science-fiction d'après guerre Les Pionniers de l'Espérance, sur des scénarios de Roger Lécureux alors âgé de 22 ans dont c'est le 1er scénario véritablement élaboré (la même année, le pendant de la série dans Coq Hardi devient la Guerre à la Terre, d'Auguste Liquois — puis Dut — et Marijac, jusqu'en 1948). Rapidement, cette série culte — dont la longévité est remarquable, puisqu'elle durera jusqu'en 1973 — est reconnue comme un modèle par la profession, au même titre que celles des grands dessinateurs américains comme Hal Foster, Milton Caniff ou Alex Raymond. Pourtant, en 1973, Poïvet est brutalement « remercié » par l'éditeur Vaillant, sans aucune explication.
Raymond Poïvet dessine également d'autres bandes pour différents magazines : Colonel X dans le Coq hardi, Le Sous-marin pirate dans Robin l'Écureuil (1946) ...
Vers la fin de sa vie, il préfère se consacrer au dessin au feutre, au fusain ou à la gouache, et explorer les grandes figures de la mythologie.