Dans la collection de NowhereMan
Mon vieux Spoogue par Olivier Milhiet - Illustration originale
540 

Mon vieux Spoogue

Illustration originale
2020
Aquarelle
21 x 29 cm (8.27 x 11.42 in.)
Partager
Gros plan
Mv 1
Mv 2

Commentaire

"mon vieux Spoogue", voici comment Olivier MILHIET a commenté cet original sur FB.
Tout a commencé pendant le confinement.
J'ai profité de cette période pour relire des séries complètes (on n'a jamais le temps !)
Walking Dead, Chéri Bibi, Les Sentinelles ,Halloween Blues, les Feux d'Askell, Katanga entre autres...
Et bien sûr Spoogue, Caravane et Aniss de Olivier MILHIET.
J'ai toujours adoré Spoogue, ce grand échalas amoureux transi d'une princesse nymphomane, histoire pleine de morts vivants, de guerriers stupides et cruels.
Les cases sont remplies de détails en arrière plan, scènes souvent cocasses.
C'est donc tout naturellement que j'ai contacté Olivier avec cette demande.
Et sans le savoir, il me l'a envoyé le jour de mon anniversaire, que demander de plus ?
Merci à lui pour sa grande disponibilité et gentillesse.

3 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter

A propos de Olivier Milhiet

Son premier souvenir de dessin se confond avec le papier peint de sa chambre, sur lequel à 5 ans, il imagine déjà des combats de guerriers. Baigné dans Astérix, Tintin, Lucky Luke, il a toujours lu des bandes dessinées et s'est très jeune intéressé à l'art du gribouillage ! Olivier Milhiet emprunte alors une voie logique, Bac A3 dessin, et école d'arts graphiques. Il puise son inspiration dans la vie de tous les jours, les livres, le cinéma, les jeux vidéos, et la bande dessinée bien entendu ! Spoogue naît à un moment où le jeune homme travaille sur un tout autre projet en compagnie d'un scénariste. Le projet s'enlisant, il imagine cet univers «pour se détendre». Il présente ses dessins à Guy Delcourt, mais le récit ne colle pas. Rappelé pour un essai sur Troll, Olivier Milhiet se penche à nouveau sur Spoogue et propose une nouvelle version dont il est seul maître à bord. Texte (c) Delcourt