Dans la collection de Bidibulle 
Maël, Louis BARTHAS - Chroniques - Illustration originale
212 

Louis BARTHAS - Chroniques

Illustration originale
2014
Aquarelle
20 x 30 cm (7.87 x 11.81 in.)
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Dos de couverture
Louis BARTHAS
Louis BARTHAS

Description

Illustration originale Louis BARTHAS par Mael - Page titre
Publié dans HS Chroniques Notre mère la guerre en page interieur et en couverture
Signé

Commentaire

En 1914, Louis Barthas a trente-cinq ans. Tonnelier dans son village de l’Aude – Peyriac-Minervois –, il est mobilisé au 280e d’infanterie basé à Narbonne. Il fera toute la guerre comme caporal. Il connaîtra le secteur sinistre de Lorette, Verdun, la Somme, l’offensive du Chemin des Dames ; la boue, les rats et les poux ; les attaques au-devant des mitrailleuses et les bombardements écrasants ; les absurdités du commandement, les mutineries de 1917, les tentatives de fraternisation.
Au front, Barthas note tout ce qu’il voit, tout ce qu’il ressent. De retour chez lui, survivant, il va rédiger au propre son journal de guerre, à l’encre violette, sur dix-neuf cahiers d’écolier. Sens de l’observation précise, lucidité, émotion et humour mêlés révèlent chez le caporal tonnelier un talent d’écrivain qui n’est gâté par aucune recherche d’effets littéraires. Le livre, présenté par Rémy Cazals, est devenu un classique – plus de 100 000 exemplaires vendus – depuis sa première édition en 1978, réalisée avec l’aide des petits-enfants de Louis Barthas et de la Fédération audoise des œuvres laïques.

Publication

  • Chroniques
  • Futuropolis / Les Éditions De La Gouttière
  • 11/2014
  • Page 37

Voir aussi :   Notre mère la Guerre

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A propos de Maël

Martin Leclerc, dit Maël, naît pas très loin de Grenoble sous les chutes de neige d'avril 1976. Dédaignant aussitôt le ski alpin et les remonte-pente,il s'attache dès tout petit à son grand projet : recopier l'intégrale de Lucky Luke, virer Morris et prendre sa place. L'avenir le fera déchanter, mais ses parents, plutôt baba-cool, l'encouragent tout de même dans cette voie. C'est aussi en écoutant toute la discothèque paternelle qu'il se découvre une passion pour la guitare, le banjo et autres épinettes des Vosges. Maël mène à présent une double vie, leader charismatique barbu du groupe folk-rock HitchcockGoHome! à Paris, ermite chevelu sur sa planche à dessin à Grenoble. Représentant non exclusif du fameux "style tremblé", il dessine nuit et jour pour satisfaire les exigences autoritaires des inquiétants S. Ricard et F. Féjard, qui, eux, ont pratiqué la boxe. C'est dur. Texte : BD'Gest