Dans la collection de archeobd                         
                    Les FEMMES
                                    Techniques mixtes
                
                
            
            
            24 x 32 cm (9.45 x 12.6 in.)
                                                    
                            Ajoutée le 30/03/2025
                        
                    
            
                                            Lien copié dans le presse-papier !                                        
                                        
                                    











Description
                                Dédicace sur édition rassemblant une centaine d'œuvres autour des thèmes du désir, chairs, intimités, clair-obscur, étreintes, échos, pulsions.                            
                        Inscriptions / Signatures
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                                Bon, on connait l'œuvre de Liberatore, "coup de point dans la gueule", d'une plastique ultra-violente et pornographique. Ranxerox fut l'archétype de l'androïde-rhinocéros dont seule Lubna, gamine de 12 ans, arrivait à lui faire maîtriser ses pulsions destructrices. Mais cela dit, le robot-terminator ne faisait que répondre à la violence dans laquelle il était plongé, violence des hommes dans une société en perdition.
Ici, rien de tout cela. Toujours la plastique violente, provocatrice et pornographique mais avec des éclairs de classicisme, voire d'académisme, avec une modernité destructrice qui lui feraient cheminer dans les pas d'un Francis Bacon, avec quelques fois certains airs d'un Mattoti.
Le résultat est impressionnant de puissance et d'expressivité, même dans les scènes les plus calmes où il règne, ou semble régner, la douceur de l'œil du cyclone avant la reprise de l'ouragan ravageur.
Il y aurait même une certaine poésie, des traits quasi antiques, de la matière à Musée du Louvre de Paris, à Galerie Borghèse de Rome, aux Offices de Florence...
Pas facile de choisir des images: somptueuses, elles prennent autant aux tripes qu'elles caressent les sens.
                        Ici, rien de tout cela. Toujours la plastique violente, provocatrice et pornographique mais avec des éclairs de classicisme, voire d'académisme, avec une modernité destructrice qui lui feraient cheminer dans les pas d'un Francis Bacon, avec quelques fois certains airs d'un Mattoti.
Le résultat est impressionnant de puissance et d'expressivité, même dans les scènes les plus calmes où il règne, ou semble régner, la douceur de l'œil du cyclone avant la reprise de l'ouragan ravageur.
Il y aurait même une certaine poésie, des traits quasi antiques, de la matière à Musée du Louvre de Paris, à Galerie Borghèse de Rome, aux Offices de Florence...
Pas facile de choisir des images: somptueuses, elles prennent autant aux tripes qu'elles caressent les sens.
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