Dans la collection de PALENZA
LES ESPADONS T1 POUR UNE POIGNEE DE PERLES
Encre de Chine
32.6 x 50.1 cm (12.83 x 19.72 in.)
Dessin : 30,5 x 37,7
Ajoutée le 05/01/2025
Lien copié dans le presse-papier !





Description
planche originale sur papier 220g
Commentaire
Lors de ma préparation à l'UCPA en Corse pour le brevet élémentaire, à la quatrième plongée, je me détache de la palanquée (chose qu'il ne faut jamais faire)acr j'avais vu la tête d'une murène dans une enfractuosité de roches. Je m'approche et tend ma palme vers sa gueule pour la titiller. Elle ne bouge pas alors je contine et tout à coup en un dizième de second elle commence à sortir et et ouvre la gueule pour mordre la palme. C'est là où je me suis aperçu de la rapidité du mouvement avec une gueule ouverte qui m'a paru énorme et un corps beaucoup plus gros auquel j'aurais pu m'attendre. Je n'ai pas eu peur tellement cela a été si rapide et elle rentrée tout de suite dans son trou, la tête toujours visble avec des yeux ronds fixes d'une grand attention prête à sortit à nouveau. J'avoue ne pas avoir recommencé. Sa gueule ouverte est impressionnante zt sisissante avec toutes ces dents.
Jolie expérience de l'emmerdeur débutant.
Jolie expérience de l'emmerdeur débutant.
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A propos de Christian Gaty
Après l'École Nationale supérieure des Beaux Arts, Gaty fonde (avec Raymond Poïvet, Paul Derambure et Robert Gigi), l'atelier de la rue des Pyramides. Il collabore aux éditions Meuwissen, (Lectures d'aujourd'hui) à la Société Parisienne d'Éditions, ainsi qu'au groupe Marijac. Dans Mickey, il crée avec Nortier, Thierry la Fronde, puis Les Espadons. Aux éditions Vaillant, toujours avec Nortier, Le Grèlé 7-13, puis Fanfan la Tulipe qu'il continue en solo avant d'entamer Cogan, une histoire d'aventures avec Jean Ollivier, inspirée des campagnes de la W.W.F. Gaty collabore chez Larousse à l'Histoire du Far-West avant de reprendre en 1980, le Démon des Caraïbes (Barbe Rouge) avec J.M. Charlier, après Hubinon et Jijé... Il retrouve Jean Ollivier, comme scénariste, au moment de la disparition de Jean-Michel Charlier.
Texte et photo © Dargaud