Dans la collection de heroines2d
Le concile des arbres – Nicolas Bara
Encre de Chine
30 x 42 cm (11.81 x 16.54 in.)
Description
Planche 32
Inscriptions / Signatures
Signée (en bas à droite) à l'encre : BARA
Commentaire
Dans l'Angleterre Victorienne, Artémis d'Harcourt, jeune et belle veuve aristocrate, est une enquêtrice travaillant pour le Ministère Public des Affaires Privées, spécialisée dans les phénomènes paranormaux. Elle a des dons de médium, est plutôt futée, subtile et diplomate, à l'opposé de son collègue Casimir Dupré plutôt muscles, ancien tueur à gage, avec lequel elle travaille en duo. Ils s'entendent plutôt comme chien et chat.
Artémis se rends aux Archives Royales pour trouver des informations sur une clairière où sept enfants ont été trouvés ainsi que sur l’hôpital royal pour femmes et enfants qui les a recueilli. Ces recherches pourraient faire avancer l'enquête qu'elle mène conjointement avec Casimir Dupré sur le comportement étrange de ces sept enfants. Mais complètement absorbée par ses lectures, le nez plongé dans les livres et les cartes, elle entend soudainement les douze coups de minuit et réalise alors qu'elle s'est laissée enfermée dans le bâtiment.
L'héroïne déambule dans des décors avec une grande profondeur de champ qui créent une ambiance inquiétante voire hostile. L'auteur utilise les codes des films d'horreur avec de belles perspectives et des cadrages en contre-plongée très réussis pour une planche détaillée et bien équilibré et avec peu de texte (pas besoin de narratifs, le dessin est suffisamment explicite).
Artémis se rends aux Archives Royales pour trouver des informations sur une clairière où sept enfants ont été trouvés ainsi que sur l’hôpital royal pour femmes et enfants qui les a recueilli. Ces recherches pourraient faire avancer l'enquête qu'elle mène conjointement avec Casimir Dupré sur le comportement étrange de ces sept enfants. Mais complètement absorbée par ses lectures, le nez plongé dans les livres et les cartes, elle entend soudainement les douze coups de minuit et réalise alors qu'elle s'est laissée enfermée dans le bâtiment.
L'héroïne déambule dans des décors avec une grande profondeur de champ qui créent une ambiance inquiétante voire hostile. L'auteur utilise les codes des films d'horreur avec de belles perspectives et des cadrages en contre-plongée très réussis pour une planche détaillée et bien équilibré et avec peu de texte (pas besoin de narratifs, le dessin est suffisamment explicite).
Publication
- Le concile des arbres
- Dargaud
- 04/2016
- Page 34
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Thématiques
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A propos de Nicolas Bara
Après un Brevet de technicien Dessinateur Maquettiste, il intègre l'école Émile Cohl, spécialisée en dessin pour apprendre son futur métier et s'intéresse au dessin animé et à l'illustration.
Lors de sa dernière année d'étude, alors qu'il a délaissé un peu la B.D, un scénariste remarque ses dessins dans les couloirs de l'école et lui propose un scénario. Se lançant dans l'aventure, il réalise 5 planches. Joyeuses retrouvailles, même si le scénario est loin de son univers. De nouveau convaincu que la BD est sa vocation il débarque sans complexe au festival d'Angoulême avec ses planches sous le bras et démarche les éditeurs.
Il se fait d'abord remarquer par Glénat, puis rencontre le dessinateur Eric Stalner, qui lui présentera son scénariste Pierre Boisserie, et lui crée un scénario dans un climat en accord avec son expression graphique.
Quelques mois plus tard, après l'obtention de son diplôme de dessinateur concepteur option BD (juin 2001), ils signent chez Dargaud pour "Le chant des Malpas". Parallèlement à la BD, il réalise des décors et personnages pour des sociétés de jeux vidéo. Il fait également des illustrations et quelques couvertures pour d'autres sociétés. Actuellement, il se consacre uniquement à la BD.
Texte (c) Dargaud
