Dans la collection de falonex
La Malédiction des 7 boules vertes - T5 - Le rire de la sorcière Pl 38
Encre de Chine
Les textes sont écrits à la mine de plomb
50 x 60 cm (19.69 x 23.62 in.)
Description
38Ème planche correspondant à la page 40 du cinquième tome de « La malédiction des 7 boules vertes » intitulé « Le rire de la sorcière » paru aux éditions Casterman en septembre 1991. La planche est en 2 parties
L’ouvrage connaîtra une deuxième vie en 2014 à la faveur d’une réédition par les éditions Paquet et d’une intégrale aux éditions Kramiek parue en 2018. A la faveur des nouvelles versions, la colorisation sera refaite par Samuel Epié.
L’ouvrage connaîtra une deuxième vie en 2014 à la faveur d’une réédition par les éditions Paquet et d’une intégrale aux éditions Kramiek parue en 2018. A la faveur des nouvelles versions, la colorisation sera refaite par Samuel Epié.
Inscriptions / Signatures
Non
Commentaire
Peintre de son état, Laurent Parcelier n’a pas manié que le pinceau dans la vie ! Né en 1962, sa première partie de carrière est consacrée à la bande-dessinée avec son compère de l’époque Didier Convard.
Il sort une première BD en 1988 qui deviendra culte pour une légion de quadras… « Le voyageur imprudent » paraît en mai 1988 et ouvre la voie d’une mini-série en 5 tomes (plus un hors-série) sous le titre « La Malédiction des sept boules vertes ». Elle sera prolongée de deux tomes mettant en scène le même jeune héros et s’intitulera « Guilio et le drôle de monde ».
Parcelier nous emmène donc au travers de 400 planches dans une aventure, par certains aspects, naïve mais à la fois poétique, magique et unique. Tenant assumé de la ligne claire, son trait d’une finesse exemplaire à l’encrage parfois subtile mais toujours précis ne nous fait que plus regretter qu’il ait choisi de se réorienter à la fin du 20ème siècle vers la peinture (qui soit dit en passant lui apportera le succès et la reconnaissance que le monde bédéphile a largement oublié de lui accorder).
« La Malédiction des 7 boules vertes » conte l’histoire de Guilio qui habite un royaume entouré d’une forêt que tous ceux qui ont tenté de traverser n’ont jamais été revus. Guilio se lance dans l’aventure aux côtés d’Ozgur, le bûcheron fumeur de pipes. Après nous avoir emmené au travers de 4 volumes plein de péripéties, Laurent Parcelier pousse Guilio - qui a arrêté de vieillir - en compagnie d'Othon, son compagnon d'auberge, d'Hokar l'aérostier et de Bergen le marin, vers sa destination finale : la salle du temps, située tout en haut du Grand Phare.
La planche présentée ici nous montre un Guilio qui n'a pu pénétrer dans la Salle du Temps. Alors qu'un orage se déchaine Hokar et Bergen viennent au secours de Guilio et Othon prisonniers tout en haut du phare. L'encrage fin et équilibré de Parcelier est ponctué d'aplats de noirs particulièrement soignés. La dernière case me fait indubitablement penser à un "Petit Prince" brun s'envolant vers les étoiles...
Pour en savoir plus : https://www.youtube.com/watch?v=djjgqHheMmw
Pour lire les BDs en ligne : http://www.notesdevoyage.com/journal/index.php?post/2009/03/14/92-bd-de-laurent-parcelier-guilio-et-la-malediction-des-sept-boules-vertes
Il sort une première BD en 1988 qui deviendra culte pour une légion de quadras… « Le voyageur imprudent » paraît en mai 1988 et ouvre la voie d’une mini-série en 5 tomes (plus un hors-série) sous le titre « La Malédiction des sept boules vertes ». Elle sera prolongée de deux tomes mettant en scène le même jeune héros et s’intitulera « Guilio et le drôle de monde ».
Parcelier nous emmène donc au travers de 400 planches dans une aventure, par certains aspects, naïve mais à la fois poétique, magique et unique. Tenant assumé de la ligne claire, son trait d’une finesse exemplaire à l’encrage parfois subtile mais toujours précis ne nous fait que plus regretter qu’il ait choisi de se réorienter à la fin du 20ème siècle vers la peinture (qui soit dit en passant lui apportera le succès et la reconnaissance que le monde bédéphile a largement oublié de lui accorder).
« La Malédiction des 7 boules vertes » conte l’histoire de Guilio qui habite un royaume entouré d’une forêt que tous ceux qui ont tenté de traverser n’ont jamais été revus. Guilio se lance dans l’aventure aux côtés d’Ozgur, le bûcheron fumeur de pipes. Après nous avoir emmené au travers de 4 volumes plein de péripéties, Laurent Parcelier pousse Guilio - qui a arrêté de vieillir - en compagnie d'Othon, son compagnon d'auberge, d'Hokar l'aérostier et de Bergen le marin, vers sa destination finale : la salle du temps, située tout en haut du Grand Phare.
La planche présentée ici nous montre un Guilio qui n'a pu pénétrer dans la Salle du Temps. Alors qu'un orage se déchaine Hokar et Bergen viennent au secours de Guilio et Othon prisonniers tout en haut du phare. L'encrage fin et équilibré de Parcelier est ponctué d'aplats de noirs particulièrement soignés. La dernière case me fait indubitablement penser à un "Petit Prince" brun s'envolant vers les étoiles...
Pour en savoir plus : https://www.youtube.com/watch?v=djjgqHheMmw
Pour lire les BDs en ligne : http://www.notesdevoyage.com/journal/index.php?post/2009/03/14/92-bd-de-laurent-parcelier-guilio-et-la-malediction-des-sept-boules-vertes
Publications
- Le rire de la sorcière
- Casterman
- 09/1991
- Page intérieure
-
- Le rire de la sorcière
- Paquet
- 08/2016
- Page intérieure
-
- Intégrale
- Kramiek
- 02/2018
- Page intérieure
-
Voir aussi :
La malédiction des sept boules vertes
15 commentaires
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A propos de Laurent Parcelier
Laurent Parcelier est un dessinateur de bande dessinée et peintre français. Il est l'auteur des séries de bande dessinée Les Sept Boules vertes et Guilio et le drôle de monde, qui se déroulent dans un monde de fantasy. En 1996, il arrête la bande dessinée pour se consacrer exclusivement à la peinture.
