Dans la collection de Bobby75
La forteresse de la douleur
Encre de Chine
Encre de chine sur papier dessin
24 x 35 cm (9.45 x 13.78 in.)
Ajoutée le 09/02/2019
Lien copié dans le presse-papier !


Description
La forteresse de la douleur – Planche originale #9
Inscriptions / Signatures
Signée en bas à droite
Commentaire
« Roberto Baldazzini : totalement original dans sa représentation du monde... une originalité qui se confronte à l'univers de la bande dessinée. Ainsi, la voix atonale se met au service d'une vision créative sans aucune limite mais aussi sans colère, sans culpabilité, et je devrais dire même sans tourments. Nous nous trouvons dans un monde érotique dont la sérénité nous saisit à la gorge, comme si nous étions devant le spectacle d'un paradis non perdu, mais pas encore retrouvé. Baldazzini est un ange qui nous laisse entrevoir le rêve aveuglant de nos désirs » Moebius
Planche représentant la guerrière Gillian, qui après quelques étreintes torrides avec la déesse Artémis, finira par connaître un destin funeste. Ce récit a été publié pour la première fois dans le magazine italien Blue (no. 85) en 1998, puis en France sous le titre de « La forteresse de la douleur » en 2000, avant d’être republié dans le recueil d’histoires courtes de Baldazzini « Bizzareries » publié chez Delcourt en 2017.
Roberto Baldazzini ? Force est de reconnaître son talent et sa singularité dans le monde de la bande dessinée adulte. Je suis particulièrement fan de sa maitrise de la ligne claire et épurée, de ses encrages profonds et soutenus, de la splendeur de ses personnages (pour ne pas citer Milo) ou encore de la beauté et de la sensualité de ses visages féminins.
Ca faisait un petit moment que j’étais à l’affut d’une belle planche de Roberto et celle-ci me remplit de joie :)
Pour info, j’ai très légèrement censuré (sous la ceinture ;) l’œuvre et les publications associées (en m’inspirant de ce qu’avait fait Baldazzini avant de poster cette même œuvre sur Facebook)… afin d’éviter d’avoir à activer le filtre adulte, car je trouve qu’il mérite d’être plus vu par ici.
Planche représentant la guerrière Gillian, qui après quelques étreintes torrides avec la déesse Artémis, finira par connaître un destin funeste. Ce récit a été publié pour la première fois dans le magazine italien Blue (no. 85) en 1998, puis en France sous le titre de « La forteresse de la douleur » en 2000, avant d’être republié dans le recueil d’histoires courtes de Baldazzini « Bizzareries » publié chez Delcourt en 2017.
Roberto Baldazzini ? Force est de reconnaître son talent et sa singularité dans le monde de la bande dessinée adulte. Je suis particulièrement fan de sa maitrise de la ligne claire et épurée, de ses encrages profonds et soutenus, de la splendeur de ses personnages (pour ne pas citer Milo) ou encore de la beauté et de la sensualité de ses visages féminins.
Ca faisait un petit moment que j’étais à l’affut d’une belle planche de Roberto et celle-ci me remplit de joie :)
Pour info, j’ai très légèrement censuré (sous la ceinture ;) l’œuvre et les publications associées (en m’inspirant de ce qu’avait fait Baldazzini avant de poster cette même œuvre sur Facebook)… afin d’éviter d’avoir à activer le filtre adulte, car je trouve qu’il mérite d’être plus vu par ici.
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A propos de Roberto Baldazzini
Né à Vignola, dans la province de Modena, en 1958, cet auteur est principalement connu pour son imaginaire, dont les thèmes dominants sont « image », « éros », « sensualité » et « amour ». Il est d’ailleurs considéré comme l’un des maîtres de la bande dessinée érotique mondiale grâce à ses personnages féminins nés dans la revue italienne « Blue » (Ginger & Rogers, Angela, Chiara Rosenberg, etc.).