In ValMartigan 's collection
Koibito to yonde (Appelle moi "chéri")
Original Illustration
Ink
Added on 6/21/24
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Description
Planche tirée du yomikiri (one shot / histoire courte) de Keiko Kitamura, publié dans le Margaret du 26 décembre 1971.
Comment
Il n'y a pas beaucoup d'information sur Keiko Kitamura, comme beaucoup de talentueuses mangaka autrice de shojo, elle a été sacrifié sur l'autel des "histoires courtes".
En effet les magazines de shojo a l'époque gagnait énormément d'argent grâce aux publicité au sein des périodiques. Et les ventes de tomes reliés, intéressaient moins les éditeurs.
Jusqu'au déclic provoqué par Moto Hagio (avec, entre autre, Le clan des Poe), et même là encore, toutes n'obtenaient pas des séries...
Bonne élève, Madame Kitamura suit les désidératas de ses éditeurs, ce qui l'amène à publier des livres de coloriages au design diablement proche de celui de la grande Igarashi (oui, la dessinatrice de Candy Candy).
On retrouve dans cette planche, la synthèse du shojo des années 70. Du Fujiwara Eiko (Lalabel), du Macoto Takahashi (Arashi o koete ), Satonaka Machiko (Cléopatre), évidement un peu de Suzue Miuchi (Glass no Kamen) et de Ryoko Ikeda(Versaille no Bara). Bref, inutile d'empiler les noms, il suffit de regarder cette planche pour voyager dans le temps.
Un esthétisme qui résonne fortement avec mes goûts.
En effet les magazines de shojo a l'époque gagnait énormément d'argent grâce aux publicité au sein des périodiques. Et les ventes de tomes reliés, intéressaient moins les éditeurs.
Jusqu'au déclic provoqué par Moto Hagio (avec, entre autre, Le clan des Poe), et même là encore, toutes n'obtenaient pas des séries...
Bonne élève, Madame Kitamura suit les désidératas de ses éditeurs, ce qui l'amène à publier des livres de coloriages au design diablement proche de celui de la grande Igarashi (oui, la dessinatrice de Candy Candy).
On retrouve dans cette planche, la synthèse du shojo des années 70. Du Fujiwara Eiko (Lalabel), du Macoto Takahashi (Arashi o koete ), Satonaka Machiko (Cléopatre), évidement un peu de Suzue Miuchi (Glass no Kamen) et de Ryoko Ikeda(Versaille no Bara). Bref, inutile d'empiler les noms, il suffit de regarder cette planche pour voyager dans le temps.
Un esthétisme qui résonne fortement avec mes goûts.
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