Dans la collection de Vertommen
Illustration
Encre de Chine
Mine de plomb, encre de chine, gouache blanche.
23 x 30.3 cm (9.06 x 11.93 in.)
Ajoutée le 22/12/2024
Lien copié dans le presse-papier !

Description
Illustration.
Inscriptions / Signatures
Dessin original exécuté à l’encre de chine et signé, avec légende autographe à la mine de plomb.
Commentaire
Publier sans doute dans les années 50-60 probablement dans « Ici Paris » (Il n’y a pas de cachet presse).
Dessinateur d’origine française. À l’âge de dix-sept ans, Albert-Georges Badert a rencontré le légendaire Louis Forton, créateur des Pieds Nickelés.
Louis Forton l’a encouragé à poursuivre une carrière artistique et il lui a présenté aux frères
Offenstadt et devenant alors employé comme illustrateur pour les publications Offenstadt.
Albert-Georges Badert a brièvement dessiné les légendaires Pieds Nickelés. Le père de la série, Louis Forton, avait cédé le relais à Aristide Perré en 1934 et quatre ans plus tard, en octobre 1938, c’était au tour d’Albert-Georges Badert de reprendre les rênes de la série (de 1938 à 1940).
Courant 1950, Albert-Georges Badert s’est alors concentré sur une carrière journalistique et d’illustrateur.
Albert-Georges Badert s’est retiré en 1979 et décédé en décembre
1994.
L’apparition de ce type de magazine comme « Ici Paris » a probablement constitué pour Badert - mais aussi pour d’autres illustrateurs du journal, comme Stambuk, Albert Dubout, Jean Bellus, Jacques Faizant, Raymond Peynet, Tetsu, Kiraz ou Henri Blanc - une source d’inspiration permettant de renouveler en partie certains scénarios humoristiques un peu démodés.
Albert Georges Badert a collaboré, très régulièrement, à l’hebdomadaire « Ici Paris » entre 1947 et 1968 en « Faizant » intervenir deux personnages classiques dans son œuvre : un vieux monsieur un peu aristocrate et une jeune fille dénudée.
Les dessins d’humour au scénario souvent convenu reflètent et produisent (ou contribuent à produire) une certaine image « culturelle » de l’époque.
« Ici Paris » tirant, en 1970, à 1.185.000 exemplaires et a donc plusieurs millions de lecteurs fera que les dessinateurs, cités plus haut, et leurs dessins seront rentrés dans la mémoire collective.
Dessinateur d’origine française. À l’âge de dix-sept ans, Albert-Georges Badert a rencontré le légendaire Louis Forton, créateur des Pieds Nickelés.
Louis Forton l’a encouragé à poursuivre une carrière artistique et il lui a présenté aux frères
Offenstadt et devenant alors employé comme illustrateur pour les publications Offenstadt.
Albert-Georges Badert a brièvement dessiné les légendaires Pieds Nickelés. Le père de la série, Louis Forton, avait cédé le relais à Aristide Perré en 1934 et quatre ans plus tard, en octobre 1938, c’était au tour d’Albert-Georges Badert de reprendre les rênes de la série (de 1938 à 1940).
Courant 1950, Albert-Georges Badert s’est alors concentré sur une carrière journalistique et d’illustrateur.
Albert-Georges Badert s’est retiré en 1979 et décédé en décembre
1994.
L’apparition de ce type de magazine comme « Ici Paris » a probablement constitué pour Badert - mais aussi pour d’autres illustrateurs du journal, comme Stambuk, Albert Dubout, Jean Bellus, Jacques Faizant, Raymond Peynet, Tetsu, Kiraz ou Henri Blanc - une source d’inspiration permettant de renouveler en partie certains scénarios humoristiques un peu démodés.
Albert Georges Badert a collaboré, très régulièrement, à l’hebdomadaire « Ici Paris » entre 1947 et 1968 en « Faizant » intervenir deux personnages classiques dans son œuvre : un vieux monsieur un peu aristocrate et une jeune fille dénudée.
Les dessins d’humour au scénario souvent convenu reflètent et produisent (ou contribuent à produire) une certaine image « culturelle » de l’époque.
« Ici Paris » tirant, en 1970, à 1.185.000 exemplaires et a donc plusieurs millions de lecteurs fera que les dessinateurs, cités plus haut, et leurs dessins seront rentrés dans la mémoire collective.
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A propos de Albert Georges Badert
À l'âge de 17 ans, Albert-Georges Badert rencontre Louis Forton, créateur des Pieds-Nickelés. Celui-ci l'encourage à poursuivre une carrière artistique et le présente aux Frères Offenstadt. Badert est alors employé comme illustrateur sur des publications Offenstadt comme Parisiana (1934), La Vie de Garnison (1937), L'Épatant avec Les Aventures de Dodoche et Tatave (1937) et L'As avec La Famille Alacoque (1938).
Dans la quinzaine de dessinateurs qui composèrent la saga des Pieds-Nickelés, Badert fait figure d'intérimaire. C'est en 1939, quatre ans après qu'Aristide Perré en ait hérité qu'il reprend les Pieds-Nickelés. Il va dessiner la série dans l'Epatant et l'As jusqu'à ce qu'éclate la Seconde Guerre mondiale. Nouveau père adoptif des Pieds-Nickelés, il va en gommer le côté crapuleux pour en faire un trio de gentlemen cambrioleurs au physique trop rondouillard. La guerre fera que les Pieds-Nickelés princes d’Orient (1940) sera le seul album de Badert publié par la SPE. Après la Libération, cet album sera réédité, en 1946, mais hors numérotation et, en 1948, c'est Pellos qui, à contrecoeur, reprendra en mains les destinés des Pieds-Nickelés. À la Libération, il modernise son dessin, édite la revue féminine Quadrille, publie l'album Drôle d'Ère.. En 1950, il dessine Lililolu, son dernier comic strip.
Texte © Bédés d'antan