Dans la collection de SupHermann
Harry Dickson T2
Encre de Chine
Collages et blanco sur bristol épais
28 x 35 cm (11.02 x 13.78 in.)
Description
Harry Dickson
Les spectres bourreaux
Couverture
Tome 2
En album
- Edition Dargaud Art & B.D. janvier 1988
- 2 rééditions (1992 et 1998)
- TT 970 exemplaires n&s sous emboitage toilé Dargaud janvier 1988
- TT 250 ex n° & signé Art & B.D. janvier 1988
Les spectres bourreaux
Couverture
Tome 2
En album
- Edition Dargaud Art & B.D. janvier 1988
- 2 rééditions (1992 et 1998)
- TT 970 exemplaires n&s sous emboitage toilé Dargaud janvier 1988
- TT 250 ex n° & signé Art & B.D. janvier 1988
Inscriptions / Signatures
Signée à l'encre. Dédicacée et datée au crayon en bas à droite
Commentaire
L’écrivain belge Jean Ray (1887-1964), d’expression francophone et néerlandophone, est l’un des grands écrivains fantastiques de son époque. On lui doit notamment les romans « Malpertuis » ou « La Cité de l’indicible peur », des contes fantastiques (« Les Contes du whisky », « Les Contes noirs du golf »…) mais surtout un feuilleton policier fantastique aux couvertures bariolées : Harry Dickson sur lequel il intervient entre 1929 et 1938. Créé pour imiter les romans anglais, Harry Dickson, celui que l'on surnomme le Sherlock Holmes américain, s'attaque à tous les mystères, de préférence étranges. Le téléphone sonne ?...
Synopsis de l'album : Il peut paraître surprenant que le célèbre Harry Dickson se penche sur la disparition de Baxter Lewisham, un homme visiblement sans le moindre intérêt, dont les logeurs signalent la disparition (et la présence, dans sa chambre fermée de l'intérieur, du cadavre d'un homme inconnu). Mais Dickson n'ignore pas que Lewisham est un fait l'un des agents les plus précieux de l'Intelligence Service... et reconnaît dans le cadavre de l'homme celui d'Aaron Steinbergen, un agent à la solde des Russes. L'affaire prend pourtant un tour inattendu lorsque Tom Wills, qui file un petit malfrat nommé Muskins, tombe aux prises avec une mystérieuse association de criminels qui exécute ce dernier sur une chaise électrique. Tom, en s'introduisant dans les lieux, a le temps d'entendre les meurtriers parler de Lewisham, avant de les mettre en fuite et d'avertir son maître. Dickson et Goodfield, bientôt sur les lieux, y découvrent de curieux costumes de fantôme, les preuves de multiples activités illicites, ainsi qu'un véritable arsenal de torture. Cependant les bandits ont fui.. et ils détiennent toujours Lewisham, qui sait des choses fondamentales pour la sûreté du royaume. Retrouver Lewisham et mettre en échec ces spectres-bourreaux, tels sont les défis que devra relever Dickson dans son enquête.
Synopsis de l'album : Il peut paraître surprenant que le célèbre Harry Dickson se penche sur la disparition de Baxter Lewisham, un homme visiblement sans le moindre intérêt, dont les logeurs signalent la disparition (et la présence, dans sa chambre fermée de l'intérieur, du cadavre d'un homme inconnu). Mais Dickson n'ignore pas que Lewisham est un fait l'un des agents les plus précieux de l'Intelligence Service... et reconnaît dans le cadavre de l'homme celui d'Aaron Steinbergen, un agent à la solde des Russes. L'affaire prend pourtant un tour inattendu lorsque Tom Wills, qui file un petit malfrat nommé Muskins, tombe aux prises avec une mystérieuse association de criminels qui exécute ce dernier sur une chaise électrique. Tom, en s'introduisant dans les lieux, a le temps d'entendre les meurtriers parler de Lewisham, avant de les mettre en fuite et d'avertir son maître. Dickson et Goodfield, bientôt sur les lieux, y découvrent de curieux costumes de fantôme, les preuves de multiples activités illicites, ainsi qu'un véritable arsenal de torture. Cependant les bandits ont fui.. et ils détiennent toujours Lewisham, qui sait des choses fondamentales pour la sûreté du royaume. Retrouver Lewisham et mettre en échec ces spectres-bourreaux, tels sont les défis que devra relever Dickson dans son enquête.
Publication
- Les spectres bourreaux
- Art &Amp; B.d.
- 01/1988
- Couverture
-
Thématiques
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A propos de Pascal J. Zanon
Pascal J. Zanon commence par faire quelques publicités suivi de caricatures sportives et d'articles historiques qu'il illustre. Enfin, un jour, c'est la rencontre fortuite avec Vanderhaeghe. L'aventure d'Harry Dickson, en BD commence. Malgré l'enthousiasme, la tâche est ardue, car le style d'adaptation et d'illustration de la célèbre série de Jean Ray exige patience et minutie. Ayant été subjugé, dès sa jeunesse, d'abord par l'esthétique et l'art de vivre de l'antiquité greco-latine, ensuite par l'école Toscane de la renaissance italienne de Filippo Lippi à Michel Lange, Zanon ne pouvait que s'orienter vers le dépouillement graphique de la "ligne claire", celui de l'école de Bruxelles.
