In Sylvain78 's collection
Diptyque 84/85 - The Kong Crew - Tome 2
Ink
36 x 52 cm (14.17 x 20.47 in.)
Added on 7/13/25
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Description
Planche 84 & 85 - The Kong Crew
Publication :
Tome 2 - Hudson Megalodon
Intégrale Noir & Blanc
Encre Japonaise Kameï & lavis sur papier
Petite rustine pour remplacer un des protagonistes en bas de la planche 85
.
Publication :
Tome 2 - Hudson Megalodon
Intégrale Noir & Blanc
Encre Japonaise Kameï & lavis sur papier
Petite rustine pour remplacer un des protagonistes en bas de la planche 85
.
Inscriptions
Signée & Passe Partout dédicacé
Comment
.
Comment se faire plaisir dans nos collections :
1/ Se faire plaisir à la lecture d'une superbe BD qui nous fait changer notre quotidien & qui nous procure un vrai moment de plaisir. Ca s'est fait
2/ Rencontrer un artiste super sympa & accueillant. Ca s'est fait aussi
3/ Se faire un petit plaisir simple pas cher & qui rentre dans le thème de la collection (ici un beau diptyque). Ben çà c'est fait aussi
4/ Clôturer le tout avec une petite dédicace sur le passe partout (et aussi dans la BD faut pas abuser quand même). Ben c'est aussi fait
BREF un vrai petit plaisir de collectionneur.
Avec en prime un petit cour de BD :
Eric a passé énormément de temps sur cette double page car il n'arrivait pas à trouver l'effet qui lui permettait de montrer la puissance de l'impact sur la 1ère case.
Il a fini par y poser des voitures faisant un bon en l'air permettant une lecture du choc très clair sur le dessin.
Le speach (merci BDGEST) :
King Kong a gagné... L'armée n'a pas pu venir à bout du gorille géant et la population a dû délaisser Manhattan. Depuis quatorze ans maintenant, personne ne s'y est aventuré et la jungle a englouti le paysage. Virgil, son teckel Spit et les autres membres de la « Kong Crew » sont sur le pied de guerre, le briefing du Colonel Pearl est clair : survoler la « zone » et localiser les intrus qui y ont pénétré. Une mission de reconnaissance banale en somme...
Baigné dans l’aviation depuis sa plus tendre enfance, Éric Hérenguel s'est plongé avec délice dans cette uchronie dès la fin 2015. Le temps pour lui de peaufiner son sujet et de coucher sur papier la trame de sa série et voici le premier tome. Sorti en avant-première au FIBD 2018, en anglais et en noir et blanc, il fut suivi un an plus tard par un second épisode. Ce sont ces soixante-quatre planches, colorisées et en version française pour l'occasion, que les éditions Ankama proposent de découvrir.
Pas la peine de tergiverser, l'auteur se fait plaisir et gâte son public ! King Kong donc, des avions et des bolides, des mâchoires carrées, des dinosaures, de jolies femmes et tant d'autres choses encore. Une liste qui peut effrayer mais le mélange prend, l'alchimie se fait, la magie opère. Comme un hommage aux artistes américains qu'il admire - difficile de ne pas penser à Mark Schultz et ses Chroniques de l'ère Xénozoïque - et aux comics (les pages de chapitre valent à elles seules le détour !) des années 50 en général. Éric Hérenguel a « gratté ses planches » sans s'économiser.
Les postures, les expressions, les look de ses personnages autant que les décors et les véhicules, le dessinateur se montre appliqué et offre des cases fouillées dans des mises en scènes soignées. Un dessin généreux, en somme, qui relègue au second plan les quelques approximations sur les visages, pour une histoire qui ne l'est pas moins. L'idée de départ a un petit quelque chose d'excitant - à se demander pourquoi personne n'y avait songé avant - et donne envie de tourner les pages frénétiquement. L'aventure et l'action sont au rendez-vous, portées par des personnages dont le côté caricatural est tellement assumé qu'ils en deviennent charismatiques. Un album aux allures de série B pulp, aux multiples clins d'œil et références.
Fun, débridé et jubilatoire, The Kong Crew déboule de (presque) nulle part et renverse tout sur son passage. Un plaisir coupable qu'il ne faut pas bouder.
Comment se faire plaisir dans nos collections :
1/ Se faire plaisir à la lecture d'une superbe BD qui nous fait changer notre quotidien & qui nous procure un vrai moment de plaisir. Ca s'est fait
2/ Rencontrer un artiste super sympa & accueillant. Ca s'est fait aussi
3/ Se faire un petit plaisir simple pas cher & qui rentre dans le thème de la collection (ici un beau diptyque). Ben çà c'est fait aussi
4/ Clôturer le tout avec une petite dédicace sur le passe partout (et aussi dans la BD faut pas abuser quand même). Ben c'est aussi fait
BREF un vrai petit plaisir de collectionneur.
Avec en prime un petit cour de BD :
Eric a passé énormément de temps sur cette double page car il n'arrivait pas à trouver l'effet qui lui permettait de montrer la puissance de l'impact sur la 1ère case.
Il a fini par y poser des voitures faisant un bon en l'air permettant une lecture du choc très clair sur le dessin.
Le speach (merci BDGEST) :
King Kong a gagné... L'armée n'a pas pu venir à bout du gorille géant et la population a dû délaisser Manhattan. Depuis quatorze ans maintenant, personne ne s'y est aventuré et la jungle a englouti le paysage. Virgil, son teckel Spit et les autres membres de la « Kong Crew » sont sur le pied de guerre, le briefing du Colonel Pearl est clair : survoler la « zone » et localiser les intrus qui y ont pénétré. Une mission de reconnaissance banale en somme...
Baigné dans l’aviation depuis sa plus tendre enfance, Éric Hérenguel s'est plongé avec délice dans cette uchronie dès la fin 2015. Le temps pour lui de peaufiner son sujet et de coucher sur papier la trame de sa série et voici le premier tome. Sorti en avant-première au FIBD 2018, en anglais et en noir et blanc, il fut suivi un an plus tard par un second épisode. Ce sont ces soixante-quatre planches, colorisées et en version française pour l'occasion, que les éditions Ankama proposent de découvrir.
Pas la peine de tergiverser, l'auteur se fait plaisir et gâte son public ! King Kong donc, des avions et des bolides, des mâchoires carrées, des dinosaures, de jolies femmes et tant d'autres choses encore. Une liste qui peut effrayer mais le mélange prend, l'alchimie se fait, la magie opère. Comme un hommage aux artistes américains qu'il admire - difficile de ne pas penser à Mark Schultz et ses Chroniques de l'ère Xénozoïque - et aux comics (les pages de chapitre valent à elles seules le détour !) des années 50 en général. Éric Hérenguel a « gratté ses planches » sans s'économiser.
Les postures, les expressions, les look de ses personnages autant que les décors et les véhicules, le dessinateur se montre appliqué et offre des cases fouillées dans des mises en scènes soignées. Un dessin généreux, en somme, qui relègue au second plan les quelques approximations sur les visages, pour une histoire qui ne l'est pas moins. L'idée de départ a un petit quelque chose d'excitant - à se demander pourquoi personne n'y avait songé avant - et donne envie de tourner les pages frénétiquement. L'aventure et l'action sont au rendez-vous, portées par des personnages dont le côté caricatural est tellement assumé qu'ils en deviennent charismatiques. Un album aux allures de série B pulp, aux multiples clins d'œil et références.
Fun, débridé et jubilatoire, The Kong Crew déboule de (presque) nulle part et renverse tout sur son passage. Un plaisir coupable qu'il ne faut pas bouder.
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About Eric Hérenguel
Éric Hérenguel is a French scriptwriter and cartoonist best known for the Lune d'Argent series on Providence and the Krän series.