Dans la collection de bdocean
Dédicace de Claude RENARD
Planche originale
2001
Encre de Chine
21 x 19 cm (8.27 x 7.48 in.)
Description
Dédicace de l'album "GALILEE, journal d'un hérétique" (Editions Pyramides, 2001)
Les dessins originaux de cet album, ainsi que des sculptures, étaient présentés dans le cadre de l’exposition 'Le théâtre des images' lors de ce 30ème Festival international de la BD d'Angoulême (2003).
"Il s'appelle Galileo Galilei. En ce début de 17ème siècle, il est convaincu de pouvoir prouver que la Terre tourne autour du soleil. L'Histoire a retenu son nom. Pourtant, il aurait pu tomber dans l'oubli. A la fin de sa vie, l'Inquisition l'a rattrapé. Et l'a fait abjurer. C'est à un voyage poétique au cœur de la connaissance que nous convient Yves Vasseur et Claude Renard. Un voyage initiatique, aussi. Pour le réaliser, ils ont mis leurs pas dans les traces du savant pendant quatre années. Ils ont rêvé avec lui sous les étoiles de Toscane. Ils ont emprunté ses mots, réinventé son journal de bord. Car "Galilée, journal d'un hérétique" est une autobiographie supposée du mathématicien. C'est lui qui raconte, qui se raconte, à travers la langue magnifique d'Yves Vasseur et les dessins somptueux de Claude Renard". (source : BDParadisio)
Les dessins originaux de cet album, ainsi que des sculptures, étaient présentés dans le cadre de l’exposition 'Le théâtre des images' lors de ce 30ème Festival international de la BD d'Angoulême (2003).
"Il s'appelle Galileo Galilei. En ce début de 17ème siècle, il est convaincu de pouvoir prouver que la Terre tourne autour du soleil. L'Histoire a retenu son nom. Pourtant, il aurait pu tomber dans l'oubli. A la fin de sa vie, l'Inquisition l'a rattrapé. Et l'a fait abjurer. C'est à un voyage poétique au cœur de la connaissance que nous convient Yves Vasseur et Claude Renard. Un voyage initiatique, aussi. Pour le réaliser, ils ont mis leurs pas dans les traces du savant pendant quatre années. Ils ont rêvé avec lui sous les étoiles de Toscane. Ils ont emprunté ses mots, réinventé son journal de bord. Car "Galilée, journal d'un hérétique" est une autobiographie supposée du mathématicien. C'est lui qui raconte, qui se raconte, à travers la langue magnifique d'Yves Vasseur et les dessins somptueux de Claude Renard". (source : BDParadisio)
Commentaire
Une des magnifiques rencontres faites au Festival BD d'Angoulême où je me rendais à l'époque chaque année, surtout pour voir les expos.
Pas fan des longues files de dédicaces, je profitais des stands des 'petits' éditeurs ou de ceux où peu de monde, voire personne, ne se rendait. Ce fut le cas avec des auteurs/dessinateurs comme Claude Renard, Gilbert Shelton...
Cela m'a permis d'échanger longuement avec lui sur son parcours et de lui demander spécifiquement d'ajouter à son dessin (construit à partir des yeux de Galilée) "Vivere, Credere, Cercare" qu'il a beaucoup aimé et demandé de pouvoir éventuellement réutiliser.
Claude RENARD entre à l'institut Saint-Luc de Bruxelles où il suit les cours de BD d'Eddy Paape, dont il devient l'assistant, puis le remplaçant. En 1972, il participe à la création du "Journal de Bruxelles", est animateur de l'atelier R (bande dessinée) et de sa revue Le Neuvième Rêve à partir de 1977 où il a contribué à révéler Andreas, Philippe Berthet, Antonio Cossu, Philippe Foerster, Benoît Sokal et Yves Swolfs. Il publie des histoires dans Métal Hurlant en collaboration avec François Schuiten) et de lui demander spécifiquement "Vivere, Credere, Cercare" sur cette dédicace
Pas fan des longues files de dédicaces, je profitais des stands des 'petits' éditeurs ou de ceux où peu de monde, voire personne, ne se rendait. Ce fut le cas avec des auteurs/dessinateurs comme Claude Renard, Gilbert Shelton...
Cela m'a permis d'échanger longuement avec lui sur son parcours et de lui demander spécifiquement d'ajouter à son dessin (construit à partir des yeux de Galilée) "Vivere, Credere, Cercare" qu'il a beaucoup aimé et demandé de pouvoir éventuellement réutiliser.
Claude RENARD entre à l'institut Saint-Luc de Bruxelles où il suit les cours de BD d'Eddy Paape, dont il devient l'assistant, puis le remplaçant. En 1972, il participe à la création du "Journal de Bruxelles", est animateur de l'atelier R (bande dessinée) et de sa revue Le Neuvième Rêve à partir de 1977 où il a contribué à révéler Andreas, Philippe Berthet, Antonio Cossu, Philippe Foerster, Benoît Sokal et Yves Swolfs. Il publie des histoires dans Métal Hurlant en collaboration avec François Schuiten) et de lui demander spécifiquement "Vivere, Credere, Cercare" sur cette dédicace
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A propos de Claude Renard
Claude Renard entre à l'institut Saint-Luc de Bruxelles où il suit les cours de bande dessinée d'Eddy Paape, dont il devient l'assistant, puis le remplaçant en 19762. En 1972, il participe à la création du "Journal de Bruxelles" avec Jean-Luc Vernal et Jacques Kievits. Animateur de l'atelier R (bande dessinée) de cette date à 1984, et de sa revue Le Neuvième Rêve à partir de 1977, il a contribué à révéler Andreas, Philippe Berthet, Antonio Cossu, Philippe Foerster, Benoît Sokal et Yves Swolfs et s'impose à ce titre comme un « grand pédagogue ».
Entre 1979 et 1981, il publie dans Métal hurlant des histoires remarquées réalisées en collaboration étroite avec François Schuiten, alors encore peu connu. En 1983, il crée seul pour la même revue Ivan Casablanca qui est selon le critique Thierry Smolderen la « meilleure BD de l'année4 ». Une seconde histoire de ce personnage est publiée entre 1985-1986, avec Jean-Luc Fromental au scénario. Après 1986, Renard s'éloigne de la bande dessinée, se consacrant à l'illustration et au théâtre (décors, costumes, scénographie et mise en scène) pour Franco Dragone.
