Dans la collection de leppj
David Crockett
Encre de Chine
27 x 40 cm (10.63 x 15.75 in.)
Ajoutée le 10/05/2025
Lien copié dans le presse-papier !






Description
Parution "L'intrépide" n°362 page 4 en 1956, repris dans l'Album de "L'intrépide" n°35 toujours publié en 1956.
Inscriptions / Signatures
Belle signature en bas à gauche de la grande case "Le Rallic"
Commentaire
Une scène d'action avec des chevaux qui courent dans la forêt puis qui se cabrent. Un dessin solide et rétro qui se lit avec plaisir.
C'est au niveau des dialogues que l'on ne peut s'empêcher de sourire à la lecture :
Bigre !... C'est trop chouette tout ce suspens dans les histoires de Crockett ! En plus au niveau de la ponctuation... On apprend plein de choses en lisant Crockett ! Il n'y a jamais trop de points d'exclamation ! Ni trop de trois petits points... Et il ne faut pas hésiter à répéter le nom Crockett car on pourrait vite oublier !... Que l'on est en train de lire la bande dessinée de Crockett ! Et saperlipopette !... Ce serait bien gênant !... Vive Crockett !...
Et vous, vous dites David ou Davy Crockett ?...
Sapristi !... En voilà une question intéressante sur Crockett ! Notre héros Crockett !...
- Répondez-moi dans les commentaires !...
- Inutile... je suis aveugle ! Whou !... Ou !... Ou !... (Est-ce que je pleure ou est-ce que je fais l'indien ? Je ne sais pas moi-même !...)
Sinon, je suis très heureux d'avoir cette planche dans ma collection !... Une planche de l'intrépide Crockett !...
C'est au niveau des dialogues que l'on ne peut s'empêcher de sourire à la lecture :
- Dépêchez-vous ! Il n'y a pas un instant à perdre !
- Whou !... Ou !... Ou !... Ou !...
- La route est barrée, fonçons dedans !
- Je suis perdu !... À moi !
- Bravo, Crockett !
- Écoutez, Crockett !
- Inutile... Je suis sourd !
- Je vous donnerai le coffret du secret !...
- Menteur !... Il l'a déjà !
- Où nous emmenez-vous ?
- À New-Orléans, histoire de prendre un peu l'air !
- Mais... C'est Bill ! J'ai l'impression qu'il a des ennuis !
- Sauvons-le !
- Au Galop ! Garez-vous !
- Crockett ! Mais c'est Crockett !
- Salut à vous, Crockett !
Bigre !... C'est trop chouette tout ce suspens dans les histoires de Crockett ! En plus au niveau de la ponctuation... On apprend plein de choses en lisant Crockett ! Il n'y a jamais trop de points d'exclamation ! Ni trop de trois petits points... Et il ne faut pas hésiter à répéter le nom Crockett car on pourrait vite oublier !... Que l'on est en train de lire la bande dessinée de Crockett ! Et saperlipopette !... Ce serait bien gênant !... Vive Crockett !...
Et vous, vous dites David ou Davy Crockett ?...
Sapristi !... En voilà une question intéressante sur Crockett ! Notre héros Crockett !...
- Répondez-moi dans les commentaires !...
- Inutile... je suis aveugle ! Whou !... Ou !... Ou !... (Est-ce que je pleure ou est-ce que je fais l'indien ? Je ne sais pas moi-même !...)
Sinon, je suis très heureux d'avoir cette planche dans ma collection !... Une planche de l'intrépide Crockett !...
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A propos de Étienne Le Rallic
Encore mineur, et avec la bénédiction de son père, il part pour Paris. Dans le train qui le mène vers la capitale, il rencontre le directeur de la revue Fantasio. Le jeune dessinateur lui montre son travail. M. Staglio est immédiatement convaincu, et lui passe commande pour Le Rire. C'est le début d'une carrière qui va s'étendre sur un demi-siècle. Le Rallic débute donc au journal Le Rire en 19101, puis, très vite, il s'illustre dans de nombreux autres journaux satiriques. Il est présent régulièrement au Salon des humoristes, où son humour ne laisse guère indifférent, ce qui lui vaut une note élogieuse de Francis Carco.
Il se lance ensuite dans la bande dessinée, dont il est l'un des pionniers en France. Tout en continuant son travail d'illustrateur dans de très nombreux périodiques pour la jeunesse, il collabore avec les grandes maisons d'éditions de l'époque en France : Fayard, Offenstadt, Fleurus, Montsouris… et en Belgique avec Gordinne.
Parallèlement à sa production de bande dessinée, il illustre des centaines de romans et nouvelles, des recueils de contes et des œuvres érotiques.
Son trait si particulier le place parmi les plus grands illustrateurs de sa génération. Il s'éteint en 1968, près de Paris, mené une dernière fois par l'un de ses chevaux qu'il affectionnait tant.