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Chroniques des femmes ninja | kunoichi ninpōchō - pg32
Ink
20 x 27 cm (7.87 x 10.63 in.)
On hold
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Description
Chroniques des femmes ninja (くノ一忍法帖)
Planche 32
Première publication par Toho Book Publishers (東邦図書出版社) - 1963
Publication par Apple Box en un seul volume en 2013
Encre de Chine et gouache blanche
Planche 32
Première publication par Toho Book Publishers (東邦図書出版社) - 1963
Publication par Apple Box en un seul volume en 2013
Encre de Chine et gouache blanche
Comment
Mitsuo Higashiura (東浦美津夫 - 1930-2012) commence sa carrière comme concepteur de jouets et artiste de Kamishibai, un théâtre illustré populaire au Japon. Sur les conseils d’Osamu Tezuka, il se tourne vers le manga à la fin des années 1940. Sa première œuvre, Moonlight Swordsman, paraît en 1948 sous forme d’akahon. Comme beaucoup de dessinateurs de l’époque, il travaille ensuite dans le secteur du manga de location avant de rejoindre les magazines shōjo au milieu des années 1950.
À partir de 1960, il collabore avec le magazine Shōjo Club et signe plusieurs séries, dont Sunset Moon Yamabiko, sur un scénario de Keiko Midorikawa. Il y introduit des héroïnes dynamiques, comme Mushroom-chan et Suzu-chan, qui se distinguent par leur esprit d’aventure, à l’égal des personnages masculins. Ses récits rencontrent un vif succès auprès des lectrices qui peuvent enfin s’identifier aux personnages principaux.
Entre 1963 et 1964, Higashiura publie Furiso de Swordsman dans le magazine Shōjo Friend, sur un scénario d’Ikki Kajiwara. Ce manga mêle drame historique et action, avec des personnages féminins au cœur de l’intrigue, dans un genre jusqu’alors réservé aux garçons. Cette approche marque une évolution importante dans le shōjo manga.
La même année, il réalise deux autres titres dans un registre similaire, Shingo Juban, adapté d’un récit de Matsutarō Kawaguchi, et Kunoichi ninpōchō, inspiré du roman de Fūtarō Yamada. Ce dernier met en scène cinq femmes ninja pendant les guerres féodales, et s’inscrit dans la série des Chroniques ninja. Par son travail, Mitsuo Higashiura contribue à élargir les horizons du manga féminin, en y intégrant des récits historiques avec des héroïnes charismatiques
À partir de 1960, il collabore avec le magazine Shōjo Club et signe plusieurs séries, dont Sunset Moon Yamabiko, sur un scénario de Keiko Midorikawa. Il y introduit des héroïnes dynamiques, comme Mushroom-chan et Suzu-chan, qui se distinguent par leur esprit d’aventure, à l’égal des personnages masculins. Ses récits rencontrent un vif succès auprès des lectrices qui peuvent enfin s’identifier aux personnages principaux.
Entre 1963 et 1964, Higashiura publie Furiso de Swordsman dans le magazine Shōjo Friend, sur un scénario d’Ikki Kajiwara. Ce manga mêle drame historique et action, avec des personnages féminins au cœur de l’intrigue, dans un genre jusqu’alors réservé aux garçons. Cette approche marque une évolution importante dans le shōjo manga.
La même année, il réalise deux autres titres dans un registre similaire, Shingo Juban, adapté d’un récit de Matsutarō Kawaguchi, et Kunoichi ninpōchō, inspiré du roman de Fūtarō Yamada. Ce dernier met en scène cinq femmes ninja pendant les guerres féodales, et s’inscrit dans la série des Chroniques ninja. Par son travail, Mitsuo Higashiura contribue à élargir les horizons du manga féminin, en y intégrant des récits historiques avec des héroïnes charismatiques
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