Dans la collection de patler
Description
Planche 57 correspondant à la page 59 de l’album "Les rats de Montsouris" (Casterman). Une version noir & blanc de l'album existe (Canal BD).
Inscriptions / Signatures
Signée en bas à droite
Commentaire
Burma, titi parisien de son état et privé de profession, que l'on ne présente plus, vient trainer ses guêtres dans le 14ème arrondissement à la double sollicitation d'un ancien compagnon de Stalag - Ferrand - et d'un ancien collabo, richissime bourgeois, Gaudebert... Deux affaires qu’apparemment tout sépare.
Démêlant l'écheveau petit à petit, le premier requérant refroidi, Burma ne tarde pas à découvrir que les deux affaires ont comme dénominateur commun une bande de malfrats à la petite semaine, spécialisée dans les cambriolages de caves de riches parisiens, Les Rats de Montsouris.
En image additionnelle, vous trouverez une reprise du 4ème plat de couverture, initialement "bricolée par les équipes Caster" pour reprendre les mots de l'auteur et que celui-çi à repris... à son compte !
Au terme d'une enquête pavée de cadavres et de bourre-pifs, Burma se retrouve dans les réservoirs de Montsouris aux prises avec le couple infernal de l'histoire. Ravard nous offre au fil de cette séquence, des pages à l'ambiance crépusculaire et glauque où le danger guette à chaque recoin.
Sur cette planche, Burma, déambulant près des machineries, omniprésent et traquant celui qui a tenté de le tuer. Au prise avec le couple infernal de l'histoire, la première case expose la diabolique... tandis que se tapis dans l'ombre de la dernière l'odieux Gaudebert.
L'encrage très marqué de Ravard sur cette séquence de fin, n'est là que pour mieux retranscrire l'ambiance sombre et moite du réservoir, s'affranchit davantage du style de Tardi pour mieux s'approprier le personnage de Burma. Pourtant, cette planche quasi-muette s'offre de belles onomatopées que ne renieraient pas le Maître et qui résonnent et font frémir la torpeur des sous-sols du réservoir.
Démêlant l'écheveau petit à petit, le premier requérant refroidi, Burma ne tarde pas à découvrir que les deux affaires ont comme dénominateur commun une bande de malfrats à la petite semaine, spécialisée dans les cambriolages de caves de riches parisiens, Les Rats de Montsouris.
En image additionnelle, vous trouverez une reprise du 4ème plat de couverture, initialement "bricolée par les équipes Caster" pour reprendre les mots de l'auteur et que celui-çi à repris... à son compte !
Au terme d'une enquête pavée de cadavres et de bourre-pifs, Burma se retrouve dans les réservoirs de Montsouris aux prises avec le couple infernal de l'histoire. Ravard nous offre au fil de cette séquence, des pages à l'ambiance crépusculaire et glauque où le danger guette à chaque recoin.
Sur cette planche, Burma, déambulant près des machineries, omniprésent et traquant celui qui a tenté de le tuer. Au prise avec le couple infernal de l'histoire, la première case expose la diabolique... tandis que se tapis dans l'ombre de la dernière l'odieux Gaudebert.
L'encrage très marqué de Ravard sur cette séquence de fin, n'est là que pour mieux retranscrire l'ambiance sombre et moite du réservoir, s'affranchit davantage du style de Tardi pour mieux s'approprier le personnage de Burma. Pourtant, cette planche quasi-muette s'offre de belles onomatopées que ne renieraient pas le Maître et qui résonnent et font frémir la torpeur des sous-sols du réservoir.
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A propos de François Ravard
François Ravard est un illustrateur, aquarelliste, et auteur de bande dessinée français né à Bayeux.