Dans la collection de Ludovic
Brendon – La sposa in nero
Encre de Chine
24 x 33 cm (9.45 x 12.99 in.)
Description
Brendon #79 – La sposa in nero
Planche 48
Encre de Chine
Planche 48
Encre de Chine
Commentaire
A propos de la série
A propos de cet épisode
Bienvenue au royaume des ténèbres, Brendon ! Un endroit à quelques pas de l'enfer !
Brendon d'Arkness est né à Stonehaven, dans une Écosse post-cataclysmique. Suite à la collision d'un énorme astéroïde avec la Terre et une année d'obscurité totale, c'est l'avènement du Grand Âge Sombre. Ce néo Moyen-Âge plonge l'humanité dans un nouvel obscurantisme. L'être humain retourne à la barbarie, oubliant son histoire et tout progrès. Formé par un maître d'escrime dès son jeune âge, Brendon perd sa famille lors de l'attaque d'une secte et devient un Chevalier errant. Comparables aux rōnins du japon médiéval, les chevaliers errants sont des soldats de fortune engagés par les habitants d'une ville pour résoudre leurs problèmes.
L'univers de Brendon s'inspire donc largement des mythes du rōnin dont regorgent la littérature, le manga et le cinéma japonais. Cependant, comme c'est souvent le cas des publications Bonelli, cette série intègre un aspect fantastique, voire horrifique, comme dans cette histoire en deux volumes (#79 & #80) avec Claudio Chiaverotti au scénario et Corrado Roi au dessin. La série n'a pas rencontré le même succès que d'autres publications Bonelli comme Dylan Dog, Dampyr ou encore Nathan Never, mais lorsque Corrado Roi illustre les aventures de Brendon, les lecteurs sont unanimes et plébiscitent cet encrage si reconnaissable. Les couvertures de Brendon ne seront dessinées par Corrado Roi que jusqu'au numéro 44. C'est Massimo Rotundo qui signera celle de cet épisode...
L'univers de Brendon s'inspire donc largement des mythes du rōnin dont regorgent la littérature, le manga et le cinéma japonais. Cependant, comme c'est souvent le cas des publications Bonelli, cette série intègre un aspect fantastique, voire horrifique, comme dans cette histoire en deux volumes (#79 & #80) avec Claudio Chiaverotti au scénario et Corrado Roi au dessin. La série n'a pas rencontré le même succès que d'autres publications Bonelli comme Dylan Dog, Dampyr ou encore Nathan Never, mais lorsque Corrado Roi illustre les aventures de Brendon, les lecteurs sont unanimes et plébiscitent cet encrage si reconnaissable. Les couvertures de Brendon ne seront dessinées par Corrado Roi que jusqu'au numéro 44. C'est Massimo Rotundo qui signera celle de cet épisode...
A propos de cet épisode
Bienvenue au royaume des ténèbres, Brendon ! Un endroit à quelques pas de l'enfer !
Dans les rues du vieux Canterbury, Brendon vient en aide à une femme mourante. Dans son dernier souffle, la jeune fille murmure laborieusement quelques mots étranges qui semblent être une déclaration d'amour, scellée par un baiser au chevalier errant. La jeune fille s'appelait Madison Fair, et pour Brendon, cette rencontre sera la première étape d'un voyage aux portes du Darkdom, un lieu lugubre au bord de l'enfer !
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A propos de Corrado Roi
Corrado Roi démarre sa carrière à seize ans avec l'éditeur StudiOriga pour lequel il dessine " Rick Zero", personnage de science-fiction créé par Graziano Origa et publié dans le magazine hebdomadaire "Adamo" de Editoriale Corno.
Il a également travaillé avec Editrice Si et Il Monello avant de commencer, au milieu des années 80, une collaboration avec l'éditeur Bonelli pour lequel il dessine les séries "Mister No" et "Martin Mystère". Pour le même Bonelli il s'attaque ensuite à la série "Dylan Dog" dont il dévient l'un des dessinateurs vedettes au point où on lui confie la réalisation des couvertures du titre "Dylan Dog Granderistampa".
En 1993, avec d'autres artistes, il réalise " I volti segreti di Tex" pour les éditions Lo Scarabeo. Jusqu'en 2005, toujours pour Bonelli, il dessine "Brendon" et aussi "Julia , "Magico Vento" et "Dampyr". Roi travaille également dans la même période pour d'autres éditeurs comme Comic Art et Arnoldo Mondadori Editore.
En 2014 il participe à une nouvelle série parallèle au titre "Nathan Never" (Les grandes histoires de Nathan Never) illustrant, en tandem avec Davide Rigamonti, l'épisode "I giorni della maschera". En Juin de la même année , il publie également un "Texone" (nom donné à l'ensemble des publications sur le personnage de Tex Willer), sur un scénario de Pasquale Ruju.
