Dans la collection de Kiki06 
Rémy Bordelet, Augusto Pedrazza, Marcel Navarro, Bordelet, Zembla#254, Le prisonnier de Satanik, couverture, 1976. - Couverture originale
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Bordelet, Zembla#254, Le prisonnier de Satanik, couverture, 1976.

Couverture originale
1976
Encre de Chine
Gouache blanche et mise en couleur sur calque
27 x 34 cm (10.63 x 13.39 in.)
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Crayonné
Mise en couleur

Description

Couverture du Zembla#254, Le prisonnier de Satanik, publiée aux editions Lug en juillet 1976, et publiée en tant que couverture du Zembla#475 en août 1994 aux éditions Semic.

Inscriptions / Signatures

Signée.

Commentaire

Couverture qui m' été offerte par un ami, me sachant fan des petits formats Lug. Il y a eu une grande vente dernièrement consacrée à cet auteur prolifique ayant contribué à la gloire des éditions Lug. Zembla est apparu pour la première fois dans le Spécial Kiwi#15 en juin 1963.

C'est l'artiste Augusto Pedrazza qui donna vie sur le papier à ce Tarzanide sous l'impulsion de Marcel Navarro, créé pour rivaliser avec le personnage italien Akim créé lui aussi par Pedrazza. Au bout de quelques épisodes, Franco Oneta prend la relève car Pedrazza ne peut pas assurer le dessin d'Akim et Zembla simultanément. Zembla devient rapidement l'un des plus gros succès de Lug jusque dans les années 80 où la montée en puissance des publications Marvel condamne le personnage aux rééditions.


Source : Wikipédia.

Publications

  • Le prisonnier de Satanik
  • Lug
  • 07/1976
  • Couverture
  • Le prisonnier de Satanic
  • Semic
  • 08/1994
  • Couverture

12 commentaires
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A propos de Rémy Bordelet

Remy Bordelet fut dessinateur pendant plus de 30 ans chez l’éditeur Lug (Rodeo, Kiwi, Strange…). Le dessinateur de Zembla (pour la reprise en France) avait abandonné le métier depuis quelques années, retraité, il lettrait les planches de Serpieri, de Tota et de Michel Rodrigue. Lyon BD lui avait consacré une exposition présentant ses meilleurs dessins. À cette occasion un portfolio avait été édité. Crédité avec les deux orthographes Rémi ou Rémy.