Dans la collection de stephane
2012 - Affiche pour Angoulême
Encre de Chine
Ajoutée le 16/03/2015
Lien copié dans le presse-papier !


Commentaire
En 2012 Jean-C. Denis reçoit le Grand Prix de la Ville d'Angoulême. Il dessine donc l'affiche de l'édition 2013. Le dessin a été décliné sur de multiples visuels et formats.
Ce qui le rend unique est bien sur qu'on ne peut être grand prix qu'une fois, et qu'on ne peut donc réaliser l'affiche de ce salon qu'une seule fois. Jean-C. a donc réalisé une illustration qu'il a voulue le reflet de son œuvre. Il a montré de surcroit qu'il n'était pas simplement un très bon narrateur mais également un excellent affichiste !
Ce qui le rend unique est bien sur qu'on ne peut être grand prix qu'une fois, et qu'on ne peut donc réaliser l'affiche de ce salon qu'une seule fois. Jean-C. a donc réalisé une illustration qu'il a voulue le reflet de son œuvre. Il a montré de surcroit qu'il n'était pas simplement un très bon narrateur mais également un excellent affichiste !
Thématiques
13 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter
A propos de Jean-Claude Denis
Jean-Claude Denis est un auteur de bande dessinée français. Il signe fréquemment ses livres du nom de Jean C. Denis ou Jean-C. Denis.
Il publie ses premières planches d’André le Corbeau en 1978, dans Pilote puis en album chez Dargaud. Il réalise avec Martin Veyron un premier conte illustré pour enfants, Oncle Ernest et les Ravis, chez Casterman en 1978. Il commence ensuite sa carrière solo en bande dessinée avec Cours tout nu, publié directement chez Futuropolis en 1979.
À partir de 1980, dans le mensuel (À suivre), il publie des aventures de Luc Leroi, sorte d'anti-héros bohème, maladroit et attachant. Les albums consacrés à Luc Leroi reviennent de façon périodique dans son œuvre.
Le thème de la littérature revient souvent dans ses histoires ; toutefois, celui de la rencontre semble être l'élément central le plus fréquemment retrouvé dans ses ouvrages. Que ce soit dans André le Corbeau, dans la série Luc Leroi ou dans des albums autonomes tels que La Beauté à domicile, les rencontres rythment le récit, dominent une intrigue de fond qui paraît parfois secondaire, ou sont le moteur même de cette intrigue.