Dans la collection de oscarls1
Commentaire
J’avais lu les aventures de Victor Billetdoux il y a très longtemps.Depuis, un peu comme pour la pyramide, la série a été oubliée. Je voyais passer parfois des œuvres de l’auteur en vente, mais elles ne correspondaient pas complètement à mes goûts (j’aime la présence de voitures). Sur celle-ci il y en a une !
Il s’agit de la planche 6 de la première partie de l’album qui mène Victor Billetdoux, correspondant de presse, accompagné de Charles Hippolyte-Constant, égyptologue, à la découverte de la fameuse pyramide.
A noter le nom des personnages, toujours improbable, comme pour son autre série phare Nicéphore Vaucanson.
Pour ceux qui ne connaitraient pas, l’album est très sympa.
Il s’agit de la planche 6 de la première partie de l’album qui mène Victor Billetdoux, correspondant de presse, accompagné de Charles Hippolyte-Constant, égyptologue, à la découverte de la fameuse pyramide.
A noter le nom des personnages, toujours improbable, comme pour son autre série phare Nicéphore Vaucanson.
Pour ceux qui ne connaitraient pas, l’album est très sympa.
Publication
- La pyramide oubliée
- Les Aventuriers De L'étrange
- 07/2018
- Page 6
-
Thématiques
9 commentaires
Pour laisser un commentaire sur cette œuvre, veuillez vous connecter
A propos de Pierre Wininger
Pierre Wininger, né en 1950, se lance dans la bande dessinée en 1976. Il publie dans Charlie Hebdo et Circus (« Victor Billetdoux »). En 1979, il crée « Le Jardin Sanglant » sur un scénario d'Henri Filippini pour Pilote, puis en album chez Dargaud. Il réalise ensuite « Nicéphore Vaucanson » pour Okapi. A partir de 1987, Wininger, qui est également illustrateur jeunesse, se consacre à l'adaptation de nombreux romans pour « Je Bouquine ». Il met en images des romans d'Oscar Wilde, Conan Doyle, Calvino, Carrol, Balzac, Falkner, Shelley, Stevenson, Saint-Exupéry, Du Maurier, Charlotte Brontë, etc... La série « Les Miroirs du Temps » marque son grand retour dans la bande dessinée et nous sommes très heureux de l'accueillir dans « La Loge Noire ».
Texte © Glénat
