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Fin Mai, visite à la galerie Maghen pour voir la très belle exposition Rosinski. Daniel est là et me propose de regarder les planches d’Olivier Pont qui viennent d’arriver et feront l’objet d’une exposition future, il n’y a même pas encore de prix. Très petite forme à cette période là et aucune accointance particulière pour Pont, j’ai bien aimé son fameux dyptique « Où le regard ne porte pas » d’il y a 20 ans, idem pour la série amazonienne « Un putain de salopard » avec Loisel mais je ne pense pas du tout acquérir une planche de lui un jour… en plus je suis un peu dans un creux de ma vie de collectionneur et j’achète moins, j’essaye de me recentrer sur mes essentiels et de ne plus trop me disperser dans moult achats avec moins d’intérêt et de cohérence pour ma collection.
Cependant, surprise! Je suis de suite séduit par ces planches. De la très très belle BD, un trait sûr et efficace. Un encrage vraiment top. Des planches de forêt, de pluie, d’action, souvent les 3. C’est très beau, dynamique et efficient! Beaucoup de jolies pages d’ailleurs, je ne me doutais pas du tout à la lecture des BD colorisées que les planches originales puissent être aussi belles. Je me demande même comment Pont a pu dessiner autant de planches (330) si fouillées en si peu de temps, la série a été rapide, les 4 tomes de 75-90 pages sont sortis à la suite me semble t’il.
Comme à mon habitude, je prends en photo les pièces qui me tapent à l’œil, cependant je ne pense vraiment pas du tout acheter quoi que ce soit.
Le soir je regarde à nouveau les photos de ma journée et commence à douter. Ces planches me plaisent… beaucoup même, comme je le fais lorsque j’ai un intérêt : j’identifie mes favorites. Le lendemain je les montre à un autre galeriste que je visite, concurrent mais beau joueur et amoureux du 9e art il m’aide même à faire mon choix en me confirmant que ce sont de superbes pièces.
Je retourne donc à la galerie Maghen le lendemain avec une sélection de quelques planches, je consulte les gens de la galerie que je connais bien et ils m’aident à finaliser mon choix. Je prends donc la planche qui est ma favorite de toute la sélection (elle sera postée plus tard) et craque pour cette seconde planche qui est un vrai coup de cœur! Les 2 héros et le méchant, une course poursuite, les quartiers populaires brésiliens de l’époque, la pluie, une planche ultra dynamique avec deux seuls phylactères! De la grande BD ☺️
Cependant, surprise! Je suis de suite séduit par ces planches. De la très très belle BD, un trait sûr et efficace. Un encrage vraiment top. Des planches de forêt, de pluie, d’action, souvent les 3. C’est très beau, dynamique et efficient! Beaucoup de jolies pages d’ailleurs, je ne me doutais pas du tout à la lecture des BD colorisées que les planches originales puissent être aussi belles. Je me demande même comment Pont a pu dessiner autant de planches (330) si fouillées en si peu de temps, la série a été rapide, les 4 tomes de 75-90 pages sont sortis à la suite me semble t’il.
Comme à mon habitude, je prends en photo les pièces qui me tapent à l’œil, cependant je ne pense vraiment pas du tout acheter quoi que ce soit.
Le soir je regarde à nouveau les photos de ma journée et commence à douter. Ces planches me plaisent… beaucoup même, comme je le fais lorsque j’ai un intérêt : j’identifie mes favorites. Le lendemain je les montre à un autre galeriste que je visite, concurrent mais beau joueur et amoureux du 9e art il m’aide même à faire mon choix en me confirmant que ce sont de superbes pièces.
Je retourne donc à la galerie Maghen le lendemain avec une sélection de quelques planches, je consulte les gens de la galerie que je connais bien et ils m’aident à finaliser mon choix. Je prends donc la planche qui est ma favorite de toute la sélection (elle sera postée plus tard) et craque pour cette seconde planche qui est un vrai coup de cœur! Les 2 héros et le méchant, une course poursuite, les quartiers populaires brésiliens de l’époque, la pluie, une planche ultra dynamique avec deux seuls phylactères! De la grande BD ☺️
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A propos de Olivier Pont
Olivier Pont est un scénariste, dessinateur de bandes dessinées et illustrateur français notamment connu pour sa série Où le regard ne porte pas... parue chez Dargaud en 2004. Il est également créateur de films avec sa compagne Elizabeth Marre.
