Dans la collection de Zilch 
Christian Cailleaux, Les dimanches de Jean Dézert - Illustration originale
44 

Les dimanches de Jean Dézert

Illustration originale
Techniques mixtes
Mines et estompe sur papier
Ajoutée le 12/06/2025
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Description

Projet de la couverture du livre édité chez Finitude.
Un tirage spécial a été édité par la galerie Christian Collin en estampe pigmentaire Format 22 x 22 cm
Numéroté signé par l’auteur

Inscriptions / Signatures

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Commentaire

L’unique roman d’un écrivain mort à vingt-sept ans. Un chef-d’œuvre intemporel.
L’appartement de Jean Dézert est bas de plafond, son existence aussi. La routine est son mode de vie naturel. Il dîne chaque soir au même endroit, avec son unique ami.
Mais heureusement, il y a les dimanches. Toute la semaine, il attend ce jour merveilleux pour déambuler dans Paris au gré des hasards. Un jour, ou plus exactement un dimanche, le hasard s’appelle Elvire, jeune fille fantasque qui frôle Jean Dézert devant le bassin des otaries du Jardin des Plantes. Ses habitudes s’en trouvent bousculées. Pas trop longtemps, toutefois, parce que l’amour, c’est tout de même beaucoup de chambardements…

Presse

" C’est le plus moderne des livres d’autrefois. Du Houellebecq, avec un siècle d’avance. […] Un roman désolant et désopilant. […] Lisez « les Dimanches », et faites passer. Merci.
Jérôme Garcin, L’Obs.
Un livre d’une étrange et stupéfiante beauté.

Astrid de Larminat, Le Figaro.
Si l’expression roman culte a un sens, c’est pour des livres tels que celui-là.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Un immense petit bijou.

Séverine Guillemet, Sud Ouest.
Une oeuvre qui traverse le temps, subtilement illustrée par Christian Cailleaux.

Christine Ferniot, Télérama.
Admirablement illustré par Christian Cailleaux, ce chef-d’oeuvre respire avec élégance un détachement qui ne se prend pas au sérieux. C’est brillant.

Sandrine Mariette, ELLE.
Ce texte singulier reste d’une troublante modernité.

Philippe Blanchet, Rolling Stone.
On tombe sous le charme de ce texte juvénile, un texte plein d’humour, au charme un peu décalé. […] Christian Cailleaux vient orner ce petit bijou d’illustrations sans ostentation, au plus près de l’esprit de ce très beau livre.

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A propos de Christian Cailleaux

Christian Cailleaux a beaucoup circulé et séjourné en Afrique, en animant des ateliers de dessin dans les Centres Culturels ou les Alliances Françaises d'une quinzaine de pays du continent. Cette expérience servira de matière à sa première publication professionnelle en bande dessinée, il y a une dizaine d'années : les aventures d'Arthur Blanc-Nègre, deux albums parus chez Dargaud sur un scénario de Sallé, aujourd'hui épuisés. Il assure ensuite seul le scénario et le dessin de ses créations suivantes : deux autres albums paraissent chez Dargaud (Haëllifa et Harmattan, le vent des fous), puis deux titres sont publiés par l'éditeur indépendant Treize Étrange, Le café du voyageur et Le troisième thé. La trilogie Les Imposteurs, parue entre 2003 et 2005 est sa première contribution au catalogue de Casterman. En 2006, il illustre Frankenstein pour Albin Michel Jeunesse, sur une adaptation de Michel Piquemal. Après deux voyages en Inde en 2005 et 2006, le récit de cette expérience sur un nouveau continent a donné lieu à Tchaï Masala, paru chez Treize Étrange en mai 2007. Encore à propos de mers et de lointains, un nouvel album intitulé R97, les hommes à terre, en collaboration avec l'écrivain Bernard Giraudeau, est paru en avril 2008 aux éditions Casterman. Texte © Dupuis

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