Labyrinthe

Fusain et mine de plomb sur papier monogrammé en bas à droite, contrecollé sur carton titré et portant le tampon de l’atelier au dos

Monogrammé par dessus signature en bas à droite.

GROS COUP DE COEUR !

Tout en vous laissant porter par cette œuvre, je vous propose de l'accompagner musicalement par le Laudate Dominum de Wolgang Amadeus Mozart, dominé par la voix puissance et élégante de Barbara Hendricks, tout comme l'architecture de Paul Mantes. Il ne s'agit pas d'un simple accompagnement musical, mais d'un tout formé par l'image et le son, une mutuelle résonnance.

https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=karsten%20rocker%20laudate%20dominum&mid=72E317EC06D5DB72B67872E317EC06D5DB72B678&ajaxhist=0

Paul Mantes, architecte, technicien méticuleux, génie absolu créant des citées imaginaires d'une puissante et majestueuse élégance, aux méga-proportions hallucinantes.

Architecture onirique
Se trouver face à une création de Paul Mantes, c'est être instantanément soumis à un choc esthétique hors du commun, c'est être submergé par un geyser de références iconographiques qui, elles-mêmes, furent des chocs visuels en leur temps: on peut percevoir, dans cet escalier géant sans fin, les lignes raffinées d'un Buscema, un Poïvet, un Lecureux, un Gillon, le gigantisme d'un Kirby dans ses citées des Dieux, la prodigieuse élégance d'un Schuitten, d'un Moebius...

Mais finalement, n'y aurait-il pas un peu du génie de Paul Mantes dans Buscema, PoÏvet, Gillon, Kirby, Schuitten et Moebius? Ne serait-ce que dans le choc émotionnel qu'il procure?