Il a grandi en admirant les planches d'Uderzo, Morris ou Gotlib. Pourtant, à l'heure de faire du dessin son métier, Frédéric Toublanc choisit la voie de l'Histoire et du réalisme.
Passionné depuis l'adolescence par le Moyen Âge, il dévore les analyses historiques consacrées à la période, et tente de voyager autant que possible pour « ressentir les vieilles pierres ».
Avec une telle passion, il n'est guère étonnant que Gilles Chaillet fasse appel à lui pour reprendre le dessin de « Vasco », l'une des seules séries à explorer les arcanes de la fin du Moyen Âge, avec une précision historique jamais démentie. Toublanc a donc perfectionné son dessin sous l'égide d'un de ses maîtres, défi qu'il a relevé avec...
Texte (c) Le Lombard