Dans la collection de buck
Luc Leroi - Le Nain Jaune
Encre de Chine
Encres de Chine et de couleurs sur Papier Vinci 450g
41 x 53 cm (16.14 x 20.87 in.)
Description
Post-Epilogue Nain Jaune, Planche 1 sur 3
Inscriptions / Signatures
Dédicace à Jean-Paul Mougin
Commentaire
Luc Leroi, Miyeko (Pascale), le secret du vase magique dévoilé à Londres ... Planche grand format sur papier haut de gamme (Vinci 450g !)
Post-épilogue paru dans le dernier numéro de "A Suivre" (Décembre 1997)
"Luc comme André sont des personnages de conte. Il me faut bien reconnaître qu'à ses débuts son épaisseur psychologique restait à trouver. Il a fait des progrès et il y travaille encore. Je dis 'il' car il est au moins autant responsable de son parcours que je le suis moi-même. Son évolution s'est faite par étapes. La première vraie rupture s'est produite avec le Nain Jaune.
Les 60 pages de l'album lui ont soudain donné tant d'espaces qu'il en a profité pour se découvrir un passé, un métier, un talent et un intérêt pour l'écriture. Cela s'est produit à mon insu. J'en ai été, d'ailleurs, un peu gêné et tellement surpris, une fois l'album terminé, que je me suis senti obligé d'ajouter un épilogue brouillant toutes les cartes et réduisant Luc Leroi au simple rôle d'acteur de BD, une enveloppe vide.
Des années plus tard, pour marquer la fin de la revue (A SUIVRE), Jean-Paul Mougin a proposé aux auteurs de réaliser une nouvelle fin à l'une de leurs histoires. J'ai choisi de donner un nouvel épilogue au Nain Jaune."
(Préface JC Denis, Intégrale Luc Leroi où ce post-épilogue est également publié)
Collection personnelle Jean-Paul Mougin, dédicacée (voir visuel) :
"De l'eau, du vin, du whisky, de quoi trinquer au souvenir de cette longue aventure commune. A toi Jean-Paul"
Post-épilogue paru dans le dernier numéro de "A Suivre" (Décembre 1997)
"Luc comme André sont des personnages de conte. Il me faut bien reconnaître qu'à ses débuts son épaisseur psychologique restait à trouver. Il a fait des progrès et il y travaille encore. Je dis 'il' car il est au moins autant responsable de son parcours que je le suis moi-même. Son évolution s'est faite par étapes. La première vraie rupture s'est produite avec le Nain Jaune.
Les 60 pages de l'album lui ont soudain donné tant d'espaces qu'il en a profité pour se découvrir un passé, un métier, un talent et un intérêt pour l'écriture. Cela s'est produit à mon insu. J'en ai été, d'ailleurs, un peu gêné et tellement surpris, une fois l'album terminé, que je me suis senti obligé d'ajouter un épilogue brouillant toutes les cartes et réduisant Luc Leroi au simple rôle d'acteur de BD, une enveloppe vide.
Des années plus tard, pour marquer la fin de la revue (A SUIVRE), Jean-Paul Mougin a proposé aux auteurs de réaliser une nouvelle fin à l'une de leurs histoires. J'ai choisi de donner un nouvel épilogue au Nain Jaune."
(Préface JC Denis, Intégrale Luc Leroi où ce post-épilogue est également publié)
Collection personnelle Jean-Paul Mougin, dédicacée (voir visuel) :
"De l'eau, du vin, du whisky, de quoi trinquer au souvenir de cette longue aventure commune. A toi Jean-Paul"
Publication
- Luc Leroi reprend tout à zéro
- Futuropolis
- 11/2012
- Page intérieure
-
9 commentaires
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A propos de Jean-Claude Denis
Jean-Claude Denis est un auteur de bande dessinée français. Il signe fréquemment ses livres du nom de Jean C. Denis ou Jean-C. Denis.
Il publie ses premières planches d’André le Corbeau en 1978, dans Pilote puis en album chez Dargaud. Il réalise avec Martin Veyron un premier conte illustré pour enfants, Oncle Ernest et les Ravis, chez Casterman en 1978. Il commence ensuite sa carrière solo en bande dessinée avec Cours tout nu, publié directement chez Futuropolis en 1979.
À partir de 1980, dans le mensuel (À suivre), il publie des aventures de Luc Leroi, sorte d'anti-héros bohème, maladroit et attachant. Les albums consacrés à Luc Leroi reviennent de façon périodique dans son œuvre.
Le thème de la littérature revient souvent dans ses histoires ; toutefois, celui de la rencontre semble être l'élément central le plus fréquemment retrouvé dans ses ouvrages. Que ce soit dans André le Corbeau, dans la série Luc Leroi ou dans des albums autonomes tels que La Beauté à domicile, les rencontres rythment le récit, dominent une intrigue de fond qui paraît parfois secondaire, ou sont le moteur même de cette intrigue.
